L’océan s’invente dans l’ascendance D’agonisantes réalités m’invitent à couvrir les paupières de sel À longer les algues qui traînent Si j’ai le temps de vivre pour elle Je m’essouffle de ne plus l’entendre Gentiment l’impression du rêve lui ressemble L’océan s’invente dans l’ascendance D’agonisantes réalités m’invitent à couvrir les paupières de sel À longer les algues qui traînent Si j’ai le temps de vivre pour elle Je m’essouffle de ne plus l’entendre Gentiment l’impression du rêve lui ressemble