assise au bord de mon grand coeur je parle de paix sans pudeur d'un arbre millenaire me racontant l'histoire qu'ici bas on a peine a croire bien avant la tour de babel les i phone les moteurs diesel existait un jardin grand comme notre vielle terre ou les hommes protegaient leurs freres imaginer un monde solaire ou se dissoudrait nos vielles guerres imaginer un monde sans faim ou le ciel d'un seul dieu eteindrait tous les feux ouvre les yeux et lance toi du haut de ton reve le plus fou le secret c'est d'y croire encore et malgre tout ouvre les yeux imaginer un monde solaire ou se dissoudrait nos vielles guerres imaginer un monde sans faim ou le ciel d'un seul dieu eteindrait tous les feux