Je vois la mort comme ces étendues brumeuses, où l'air glacé enflamme le brouillard de l'aube. Où les grands sapins droits, tendus vers le ciel, semblent comme des murmures. Où la vague lumière naissante au loin, perce jusqu'au sol, puis s'éteint. Où les rochers, comme les colosses des temps jadis, seraient les gardiens d'un jardin ancestral.