Je suis le miroir, du meilleur amour. J'ai prié le soir, pour te faire voir le jour. Et depuis, tu t'es perdu dans d'autres lits. Au nom du pouvoir, tu changes de discours. Tu penses tout savoir, l'ambition te rends sourd, l'ambition te rends sourd. Tu oublis, la femme qui t'as offert la vie. Ils sont fous, Ils sont fous. Ils sont fous, Ils sont fous! Je veux le monde! Aux larmes citoyennes, la femme est souveraine. Rêvons le monde, menons la fronde. Plus rien ne nous fait peur, on conna?t la douleur on veut le monde. Tu joues les soldats, je suis ton salut. Tu perds au combat, la partie continue. Si je donne, neuf mois de moi pour faire un homme. Ils sont fous, ils sont fous! Dans cette corrida, tu vois la vertu. La mort est pour toi, la jouissance absolue la jouissance absolue. Tu frissonnes, quand une vie nous abandonne. Je veux le monde! aux larmes citoyennes, la femme est souveraine. Rêvons le monde, menons la fronde. Plus rien ne nous fait peur, on conna?t la douleur on veut le monde. Je suis le monde, puisque la terre est ronde comme une mère féconde. Je veux le monde, sans les jours sombres. Assez de la douleur, je la connais par c?ur. Je veux le monde! Aux larmes citoyennes la femme est souveraine. Rêvons le monde, menons la fronde. Plus rien ne nous fait peur, on conna?t la douleur on veut le monde. Aux larmes citoyennes, la femme est souveraine. Rêvons le monde, menons la fronde. Plus rien ne nous fait peur, on conna?t la douleur on veut le monde!