Aussi loin trône l'Ombre Et jamais ne trépasse Cell(e) qui le soleil chasse Préférant la pénombre Eternelle légat D'une Foi générée Par les cendr(e)s ici bas Que l'aurore a données Et quelques silhouettes dansent Derrière la brume complice Louant les rires du silence Qui les défendent avec malice Ell(e)s entraînent la vie, Dans leur antre maudite Et la mousse si vite Recouvre le défi Et les âges s'enchaînent Sculptant alors leur face Que torture la Peine Mais jamais ne l'efface Et glissant encor sous la nuit, L'Ombre cèd(e) son cruel secret A ces imag(e)s évanouies Que l'aube n'arrive à dompter