Retiens moi si tu peux refermer la blessure Qui me tiend a la vie Et le mal qu'on se fait et les coups de couteaux Qui transpersent les plaies du silence Et la nuit qui fait pleurer mon ames Et la melancolie, dit moi quand c'est fini Et les pouvoirs et les vents qui me poussent et m'atirent Quand le coeur ne ressant que l'envie d'en finir Dit moi quel est le chemin? La vierge ou la putain? Maire ou Marilyn, peu m'importe ton nom S'il y a la passion,s'il y a la communion Des corps et des esprits Paris ou Miami, va y pour la folie,va y pour l'insomnis Va pour le paradis [Refrain]: Les seins de Marilyn ou les seins de Maire Tu sais moi je m'en foue quand qu'elle est a genous quand elle me dit va y pour le bout de la nuit Sans dessus sans dessus, et moi ca me rend fou Les seins de Marilyn ou les seins de Maire Tu sais moi je m'en foue quand qu'elle est a genous quand elle me dit va y pour le bout de la nuit Va y la dans le trou, et moi ca me rend fou Et moi ca me rend fou Retiens moi si tu peux refermer la blessure Qui me tiend a la vie Et le mal qu'on se fait et les coups de couteaux Qui traverssent les plaies du silence Et la nuit qui fait pleurer mon ames Et la melancolie, a l'heure ou tout s'incline Au vent des religions, dit moi quand ca fini les pouvoirs et le sang qui me poussent et m'attirent Quand le coeur ne ressant que l'envie d'en finir Maire ou Marilyn, peu m'importe ton nom S'il y a la passion, s'il y a les frisson Maire ou Marilyn, peu m'importe ton nom S'il y a la communion, s'il y a les frissons [Refrain] A l'arrière des backrooms Y'a des beautés divines, vous ne soupçonnez pas les pulsions qui m'animent Quand elle pris à vos pieds qund il n'y a plus qu'à s'aimer Aux alliances éternelles imaculée conception de la vie, Paris ou Miami vs-y pour la folie, au gré des paradis Artificiels-faut bien toucher le ciel Dans la beauté du sale Dans la beauté du mal! Artificiels-faut bien toucher le ciel Dans la beauté du sale Dans la beauté du mal Artificiels-faut bien toucher le ciel Dans la beauté du sale Dans la beauté du mal [Refrain]