歌曲 | Répondez-Moi |
歌手 | Nana Mouskouri |
专辑 | Greatest Hits |
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Répondez-moi | |
(Antwortet mir) | |
Je vis dans une maison sans balcon sans toiture | |
Où y`a même pas d`abeilles sur les pots de confiture | |
Y`a même pas d`oiseaux même pas la nature | |
C`est même pas une maison | |
Je laissé en passant quelques mots sur le muir | |
Du couloir qui descend au parking des voitures | |
Quelques mots pour les grands même pas des injures | |
Si quelqu`un les entend | |
Répondez-moi | |
Répondez-moi | |
Mon coeur a peur d`être emmuré entre vos tours de glace | |
Condamné aux bruits des camions qui passent | |
Lui qui rêvait de champd d`étoiles de colliers de jonquilles | |
Pour accrocher aux épaules des filles | |
Mais le matin vous entraîne en courant vers vos habitudes | |
Et le soir votre forêt d`antennnes est branchée sur la solitude | |
Et que brille la lune pleine que souffle le vent du Sud | |
Vous vous n`entendez pas | |
Et moi je vois passer vos chiens superbes aux yeux de glace | |
Portés sur des coussins que les maîtres embrassent | |
Pour s`effleurer la main il faut des mots de passe | |
Et pour s`effleurer la main | |
Répondez-moi | |
Répondez-moi | |
Mon coeur a peur de s`enliser dans aussi peu d`espace | |
Condamné aux bruits des camions qui passent | |
Lui qui rêvait de champs d`étoiles de colliers de jonquilles | |
Pour s`abriter aux épaules des filles | |
Mais la dernière des fées cherche sa baguette magique | |
Mon ami le ruisseau dort dans une bouteille en plastique | |
Les saisons se sont arrêtées aux pieds des arbres synthétiques | |
Il n`y a plus que moi | |
Et moi je vis dans ma maison sans balcon sans toiture | |
Où y`a même pas d`abeilles sur les pots de confiture | |
Y`a même pas d`oiseaux même pas la nature | |
C`est même pas une maison | |
(F. Cabrel) |
Re pondezmoi | |
Antwortet mir | |
Je vis dans une maison sans balcon sans toiture | |
Ou y a m me pas d abeilles sur les pots de confiture | |
Y a m me pas d oiseaux m me pas la nature | |
C est m me pas une maison | |
Je laisse en passant quelques mots sur le muir | |
Du couloir qui descend au parking des voitures | |
Quelques mots pour les grands m me pas des injures | |
Si quelqu un les entend | |
Re pondezmoi | |
Re pondezmoi | |
Mon coeur a peur d tre emmure entre vos tours de glace | |
Condamne aux bruits des camions qui passent | |
Lui qui r vait de champd de toiles de colliers de jonquilles | |
Pour accrocher aux e paules des filles | |
Mais le matin vous entra ne en courant vers vos habitudes | |
Et le soir votre for t d antennnes est branche e sur la solitude | |
Et que brille la lune pleine que souffle le vent du Sud | |
Vous vous n entendez pas | |
Et moi je vois passer vos chiens superbes aux yeux de glace | |
Porte s sur des coussins que les ma tres embrassent | |
Pour s effleurer la main il faut des mots de passe | |
Et pour s effleurer la main | |
Re pondezmoi | |
Re pondezmoi | |
Mon coeur a peur de s enliser dans aussi peu d espace | |
Condamne aux bruits des camions qui passent | |
Lui qui r vait de champs de toiles de colliers de jonquilles | |
Pour s abriter aux e paules des filles | |
Mais la dernie re des fe es cherche sa baguette magique | |
Mon ami le ruisseau dort dans une bouteille en plastique | |
Les saisons se sont arr te es aux pieds des arbres synthe tiques | |
Il n y a plus que moi | |
Et moi je vis dans ma maison sans balcon sans toiture | |
Ou y a m me pas d abeilles sur les pots de confiture | |
Y a m me pas d oiseaux m me pas la nature | |
C est m me pas une maison | |
F. Cabrel |
Ré pondezmoi | |
Antwortet mir | |
Je vis dans une maison sans balcon sans toiture | |
Où y a m me pas d abeilles sur les pots de confiture | |
Y a m me pas d oiseaux m me pas la nature | |
C est m me pas une maison | |
Je laissé en passant quelques mots sur le muir | |
Du couloir qui descend au parking des voitures | |
Quelques mots pour les grands m me pas des injures | |
Si quelqu un les entend | |
Ré pondezmoi | |
Ré pondezmoi | |
Mon coeur a peur d tre emmuré entre vos tours de glace | |
Condamné aux bruits des camions qui passent | |
Lui qui r vait de champd dé toiles de colliers de jonquilles | |
Pour accrocher aux é paules des filles | |
Mais le matin vous entra ne en courant vers vos habitudes | |
Et le soir votre for t d antennnes est branché e sur la solitude | |
Et que brille la lune pleine que souffle le vent du Sud | |
Vous vous n entendez pas | |
Et moi je vois passer vos chiens superbes aux yeux de glace | |
Porté s sur des coussins que les ma tres embrassent | |
Pour s effleurer la main il faut des mots de passe | |
Et pour s effleurer la main | |
Ré pondezmoi | |
Ré pondezmoi | |
Mon coeur a peur de s enliser dans aussi peu d espace | |
Condamné aux bruits des camions qui passent | |
Lui qui r vait de champs dé toiles de colliers de jonquilles | |
Pour s abriter aux é paules des filles | |
Mais la derniè re des fé es cherche sa baguette magique | |
Mon ami le ruisseau dort dans une bouteille en plastique | |
Les saisons se sont arr té es aux pieds des arbres synthé tiques | |
Il n y a plus que moi | |
Et moi je vis dans ma maison sans balcon sans toiture | |
Où y a m me pas d abeilles sur les pots de confiture | |
Y a m me pas d oiseaux m me pas la nature | |
C est m me pas une maison | |
F. Cabrel |