Fermes les yeux | |
Vidé de toute vie, vidé même d'envie, déçu par ma vie, déçu par autrui. | |
Seul dans mon esprit, seul dans ma chambre, je vois mon existence qui défile devant moi. Je n'ai plus envie d'y croire, plus envie de voir. Je sombre dans une paresse emplie de désespoir. Lentement, je touche le fond que je croyais si loin de moi et qui se rapproche pas à pas. | |
Laissez-moi partir, m'accuser d'avoir toujours défendu d'autres causes avant la mienne. | |
Je plaide coupable. Comment me détruire, moi qui était si fort ? Comment en finir, sans laisser de remords ? Quitter cette existence, quitter cette souffrance, celle qui, avant, comblaient mes audiences. | |
Vu d'ici, la mort parait si belle. | |
Vu d'ici, on dirait qu'elle t'appelle. | |
De l'autre côté, la peur n'existe pas. | |
Et si l'on ferme les yeux, on pourrait passer au-delà. | |
De l'autre côté, le temps n'existe pas. | |
Et si ça n'en vaut plus la peine, | |
Fermes les yeux, | |
Peu importe quand ni comment, | |
Si plus rien ne te retient, alors c'est le moment. | |
Vidé de toute vie, vidé même d'envie, déçu par ma vie, déçu par autrui. Oublié de tous, oublié de vivre, délaissé mon avis, personne ne l'attend cette fois-ci. Partir sans être un lâche, sans même faire un carnage. Suivre mon destin, ou bien le contrôler. Mourir de mes mains, ou laisser le temps passer de l'autre côté du néant. | |
Loin d'ici, la mort enfin t'appelle. | |
De l'autre côté, la peur n'existe pas. | |
Et si l'on ferme les yeux, on pourrait passer au-delà. | |
De l'autre côté, le temps n'existe pas. | |
Et si ça n'en vaut plus la peine, | |
Fermes les yeux, | |
Peu importe quand ni comment, | |
Si plus rien ne te retient, ouvre-toi au néant... |
Fermes les yeux | |
Vide de toute vie, vide m me d' envie, de u par ma vie, de u par autrui. | |
Seul dans mon esprit, seul dans ma chambre, je vois mon existence qui de file devant moi. Je n' ai plus envie d' y croire, plus envie de voir. Je sombre dans une paresse emplie de de sespoir. Lentement, je touche le fond que je croyais si loin de moi et qui se rapproche pas a pas. | |
Laissezmoi partir, m' accuser d' avoir toujours de fendu d' autres causes avant la mienne. | |
Je plaide coupable. Comment me de truire, moi qui e tait si fort nbsp? Comment en finir, sans laisser de remords nbsp? Quitter cette existence, quitter cette souffrance, celle qui, avant, comblaient mes audiences. | |
Vu d' ici, la mort parait si belle. | |
Vu d' ici, on dirait qu' elle t' appelle. | |
De l' autre c te, la peur n' existe pas. | |
Et si l' on ferme les yeux, on pourrait passer audela. | |
De l' autre c te, le temps n' existe pas. | |
Et si a n' en vaut plus la peine, | |
Fermes les yeux, | |
Peu importe quand ni comment, | |
Si plus rien ne te retient, alors c' est le moment. | |
Vide de toute vie, vide m me d' envie, de u par ma vie, de u par autrui. Oublie de tous, oublie de vivre, de laisse mon avis, personne ne l' attend cette foisci. Partir sans tre un l che, sans m me faire un carnage. Suivre mon destin, ou bien le contr ler. Mourir de mes mains, ou laisser le temps passer de l' autre c te du ne ant. | |
Loin d' ici, la mort enfin t' appelle. | |
De l' autre c te, la peur n' existe pas. | |
Et si l' on ferme les yeux, on pourrait passer audela. | |
De l' autre c te, le temps n' existe pas. | |
Et si a n' en vaut plus la peine, | |
Fermes les yeux, | |
Peu importe quand ni comment, | |
Si plus rien ne te retient, ouvretoi au ne ant... |
Fermes les yeux | |
Vidé de toute vie, vidé m me d' envie, dé u par ma vie, dé u par autrui. | |
Seul dans mon esprit, seul dans ma chambre, je vois mon existence qui dé file devant moi. Je n' ai plus envie d' y croire, plus envie de voir. Je sombre dans une paresse emplie de dé sespoir. Lentement, je touche le fond que je croyais si loin de moi et qui se rapproche pas à pas. | |
Laissezmoi partir, m' accuser d' avoir toujours dé fendu d' autres causes avant la mienne. | |
Je plaide coupable. Comment me dé truire, moi qui é tait si fort nbsp? Comment en finir, sans laisser de remords nbsp? Quitter cette existence, quitter cette souffrance, celle qui, avant, comblaient mes audiences. | |
Vu d' ici, la mort parait si belle. | |
Vu d' ici, on dirait qu' elle t' appelle. | |
De l' autre c té, la peur n' existe pas. | |
Et si l' on ferme les yeux, on pourrait passer audelà. | |
De l' autre c té, le temps n' existe pas. | |
Et si a n' en vaut plus la peine, | |
Fermes les yeux, | |
Peu importe quand ni comment, | |
Si plus rien ne te retient, alors c' est le moment. | |
Vidé de toute vie, vidé m me d' envie, dé u par ma vie, dé u par autrui. Oublié de tous, oublié de vivre, dé laissé mon avis, personne ne l' attend cette foisci. Partir sans tre un l che, sans m me faire un carnage. Suivre mon destin, ou bien le contr ler. Mourir de mes mains, ou laisser le temps passer de l' autre c té du né ant. | |
Loin d' ici, la mort enfin t' appelle. | |
De l' autre c té, la peur n' existe pas. | |
Et si l' on ferme les yeux, on pourrait passer audelà. | |
De l' autre c té, le temps n' existe pas. | |
Et si a n' en vaut plus la peine, | |
Fermes les yeux, | |
Peu importe quand ni comment, | |
Si plus rien ne te retient, ouvretoi au né ant... |