歌曲 | Ciel brouille |
歌手 | Mortifera |
专辑 | Vastiia Tenebrd Mortifera |
下载 | Image LRC TXT |
作曲 : Neige | |
作词 : Charles Baudelaire | |
On dirait ton regard d'une vapeur couvert ; | |
Ton œil mystérieux, — est-il bleu, gris ou vert ? — | |
Alternativement tendre, doux et cruel, | |
Réfléchit l'indolence et la pâleur du ciel. | |
Tu rappelles ces jours blancs, tièdes et voilés, | |
Qui font se fondre en pleurs les cœurs ensorcelés, | |
Quand, agités d'un mal inconnu qui les tord, | |
Les nerfs trop éveillés raillent l'esprit qui dort. | |
Tu ressembles parfois à ces beaux horizons | |
Qu'allument les soleils des brumeuses saisons ; | |
— Comme tu resplendis, paysage mouillé | |
Qu'enflamment les rayons tombant d'un ciel brouillé ! | |
O femme dangereuse ! ô séduisants climats ! | |
Adorerai-je aussi ta neige et vos frimas, | |
Et saurai-je tirer de l'implacable hiver | |
Des plaisirs plus aigus que la glace et le fer ? |
zuo qu : Neige | |
zuo ci : Charles Baudelaire | |
On dirait ton regard d' une vapeur couvert | |
Ton il myste rieux, estil bleu, gris ou vert ? | |
Alternativement tendre, doux et cruel, | |
Re fle chit l' indolence et la p leur du ciel. | |
Tu rappelles ces jours blancs, tie des et voile s, | |
Qui font se fondre en pleurs les c urs ensorcele s, | |
Quand, agite s d' un mal inconnu qui les tord, | |
Les nerfs trop e veille s raillent l' esprit qui dort. | |
Tu ressembles parfois a ces beaux horizons | |
Qu' allument les soleils des brumeuses saisons | |
Comme tu resplendis, paysage mouille | |
Qu' enflamment les rayons tombant d' un ciel brouille ! | |
O femme dangereuse ! se duisants climats ! | |
Adoreraije aussi ta neige et vos frimas, | |
Et sauraije tirer de l' implacable hiver | |
Des plaisirs plus aigus que la glace et le fer ? |
zuò qǔ : Neige | |
zuò cí : Charles Baudelaire | |
On dirait ton regard d' une vapeur couvert | |
Ton il mysté rieux, estil bleu, gris ou vert ? | |
Alternativement tendre, doux et cruel, | |
Ré flé chit l' indolence et la p leur du ciel. | |
Tu rappelles ces jours blancs, tiè des et voilé s, | |
Qui font se fondre en pleurs les c urs ensorcelé s, | |
Quand, agité s d' un mal inconnu qui les tord, | |
Les nerfs trop é veillé s raillent l' esprit qui dort. | |
Tu ressembles parfois à ces beaux horizons | |
Qu' allument les soleils des brumeuses saisons | |
Comme tu resplendis, paysage mouillé | |
Qu' enflamment les rayons tombant d' un ciel brouillé ! | |
O femme dangereuse ! sé duisants climats ! | |
Adoreraije aussi ta neige et vos frimas, | |
Et sauraije tirer de l' implacable hiver | |
Des plaisirs plus aigus que la glace et le fer ? |