La bataille des murailles

歌曲 La bataille des murailles
歌手 Loco Locass
专辑 Amour oral

歌词

Il y a de cela des lunes et des lunes
Alors que la terre de nos terres était encore brune
Et que les pères de nos pères burinaient les runes, chacune
Des contrées se sont rencontrées afin de contrer une lacune
Remarquée par le Monarque des monarques
Yvan, désireux de laisser sa marque
De commerce
Voulait lever les herses
Afin que le commerce perce
Les barrières et que les sesterces
S'acquièrent sans frontières
Manifestement, Yvan
L'Empereur de la peur
A les paumes sales et souillées de sang
Il a bâti son royaume en assujettissant
Tout à la fois les petits gnomes que les clans les plus puissants
Sous son immense heaume blanc et resplendissant
Et depuis ce temps sous le chaume, les paysans sont agonisants
Yvan a les paumes sales et souillées de sang
Les paysans sous le chaume sont agonisants
Soit-disant pour remédier à ce merdier
Yvan invite à sa table tous les notables
Un seul est jugé indésirable
Un incroyable nain à la barbe vénérable
En exil dans une île
Coupable !
De n'avoir jamais fléchi l'échine
Devant la Machine du Seigneur de la rancœur de pierre
Qui tient rigueur à l'insulaire
Et l'isole dans son atoll
Les monarques unis pour abattre les clôtures
Se sont réunis entre quatre murs
Afin que le plus petit de leurs murmures meure
Sous le cliquetis des armures
L'heure est au leurre
À la bataille des Murailles
Au-delà du portail, c'est la ripaille
Pour les quelques canailles
Mais pas une grenaille ne reste pour la marmaille
Mais pas une grenaille ne reste pour la marmaille
« Camarades, tous aux barricades ! À l'assaut de la palissade !
Finie la mascarade !
Pas question qu'on nous mène à l'abattoir
Sans pouvoir savoir
Ce que le pouvoir
Nous cache dans le noir »
« Camarades, tous aux barricades ! À l'assaut de la palissade !
Finie la mascarade !
Pas question qu'on nous mène à l'abattoir
Sans pouvoir savoir
Ce que le pouvoir
Nous cache dans le noir »
Samouraïs et racaille
Aux portes des murailles
Avec L.O.C.O. L.O.C.A.S.S.
Se dressent à la herse de la forteresse
Où se terre l'essaim de spadassins assassins d'Yvan le suffisant
Ombres sombres en nombre suffisant
Pour éradiquer le clan des dissidents
Et disséminer des dents aux quatre vents
À main nue, sans gants
Sanglants, y feront pas semblants
Mais pour l'instant, seules coulent la salive et les invectives
Des deux côtés de la rive
Les regards se rivent
La tension est vive
On est sur le qui-vive
En attendant que l'inévitable arrive
Et quand de main de maître
On perce le périmètre
La clique rapplique
Les flics paniquent
Comme des yaks
Passent à l'attaque et matraquent du tac au tac
Rak Tak !
C'est le saccage, la bête est sortie de sa cage
On nage en plein Moyen-Âge
Casqué, masqué, l'escadron
Fond sur tous les flancs comme un faucon sur un faon
« Mais pas question qu'on capitule !
Hardi, pardi !
Par ici la catapulte !
Selon les calculs, on peut percer le rempart de part en part »
En haut du château
On lance des carreaux
Certains sont K.O.
Sur le carreau
C'est le chaos
Camarades ! Camarades ! Camarades !
« Camarades, tous aux barricades ! À l'assaut de la palissade !
Finie la mascarade !
Pas question qu'on nous mène à l'abattoir
Sans pouvoir savoir
Ce que le pouvoir
Nous cache dans le noir »
« Camarades, tous aux barricades ! À l'assaut de la palissade !
Finie la mascarade !
Pas question qu'on nous mène à l'abattoir
Sans pouvoir savoir
Ce que le pouvoir
Nous cache dans le noir »
Blasée, naze et gazée
La foule refoule et se défoule
Dans les faubourgs
Jusqu'au petit jour
C'est ainsi que voulant faire vaciller
Les sorciers du pouvoir qui n'ont pas sourcillé
Le peuple a fini éparpillé, par piller comme un lévrier
Tout un quartier ouvrier
Et pendant que les tribus s'attribuent le tribut du rififi
Le royaume s'unifie et se solidifie
Sous le dôme fantôme de l'économie
Les monarques unis pour abattre les clôtures
Se sont réunis entre quatre murs
Afin que le plus petit de leurs murmures meure
Sous le cliquetis des armures
L'heure est au leurre
À la bataille des murailles
Au-delà du portail, c'est la ripaille
Pour les quelques canailles
Mais pas une grenaille ne reste pour la marmaille
Mais pas une grenaille ne reste pour la marmaille

拼音

Il y a de cela des lunes et des lunes
Alors que la terre de nos terres é tait encore brune
Et que les pè res de nos pè res burinaient les runes, chacune
Des contré es se sont rencontré es afin de contrer une lacune
Remarqué e par le Monarque des monarques
Yvan, dé sireux de laisser sa marque
De commerce
Voulait lever les herses
Afin que le commerce perce
Les barriè res et que les sesterces
S' acquiè rent sans frontiè res
Manifestement, Yvan
L' Empereur de la peur
A les paumes sales et souillé es de sang
Il a b ti son royaume en assujettissant
Tout à la fois les petits gnomes que les clans les plus puissants
Sous son immense heaume blanc et resplendissant
Et depuis ce temps sous le chaume, les paysans sont agonisants
Yvan a les paumes sales et souillé es de sang
Les paysans sous le chaume sont agonisants
Soitdisant pour remé dier à ce merdier
Yvan invite à sa table tous les notables
Un seul est jugé indé sirable
Un incroyable nain à la barbe vé né rable
En exil dans une le
Coupable nbsp!
De n' avoir jamais flé chi l'é chine
Devant la Machine du Seigneur de la ranc ur de pierre
Qui tient rigueur à l' insulaire
Et l' isole dans son atoll
Les monarques unis pour abattre les cl tures
Se sont ré unis entre quatre murs
Afin que le plus petit de leurs murmures meure
Sous le cliquetis des armures
L' heure est au leurre
À la bataille des Murailles
Audelà du portail, c' est la ripaille
Pour les quelques canailles
Mais pas une grenaille ne reste pour la marmaille
Mais pas une grenaille ne reste pour la marmaille
nbsp Camarades, tous aux barricades nbsp! À l' assaut de la palissade nbsp!
Finie la mascarade nbsp!
Pas question qu' on nous mè ne à l' abattoir
Sans pouvoir savoir
Ce que le pouvoir
Nous cache dans le noir nbsp
nbsp Camarades, tous aux barricades nbsp! À l' assaut de la palissade nbsp!
Finie la mascarade nbsp!
Pas question qu' on nous mè ne à l' abattoir
Sans pouvoir savoir
Ce que le pouvoir
Nous cache dans le noir nbsp
Samoura s et racaille
Aux portes des murailles
Avec L. O. C. O. L. O. C. A. S. S.
Se dressent à la herse de la forteresse
Où se terre l' essaim de spadassins assassins d' Yvan le suffisant
Ombres sombres en nombre suffisant
Pour é radiquer le clan des dissidents
Et dissé miner des dents aux quatre vents
À main nue, sans gants
Sanglants, y feront pas semblants
Mais pour l' instant, seules coulent la salive et les invectives
Des deux c té s de la rive
Les regards se rivent
La tension est vive
On est sur le quivive
En attendant que l' iné vitable arrive
Et quand de main de ma tre
On perce le pé rimè tre
La clique rapplique
Les flics paniquent
Comme des yaks
Passent à l' attaque et matraquent du tac au tac
Rak Tak nbsp!
C' est le saccage, la b te est sortie de sa cage
On nage en plein Moyen ge
Casqué, masqué, l' escadron
Fond sur tous les flancs comme un faucon sur un faon
nbsp Mais pas question qu' on capitule nbsp!
Hardi, pardi nbsp!
Par ici la catapulte nbsp!
Selon les calculs, on peut percer le rempart de part en part nbsp
En haut du ch teau
On lance des carreaux
Certains sont K. O.
Sur le carreau
C' est le chaos
Camarades nbsp! Camarades nbsp! Camarades nbsp!
nbsp Camarades, tous aux barricades nbsp! À l' assaut de la palissade nbsp!
Finie la mascarade nbsp!
Pas question qu' on nous mè ne à l' abattoir
Sans pouvoir savoir
Ce que le pouvoir
Nous cache dans le noir nbsp
nbsp Camarades, tous aux barricades nbsp! À l' assaut de la palissade nbsp!
Finie la mascarade nbsp!
Pas question qu' on nous mè ne à l' abattoir
Sans pouvoir savoir
Ce que le pouvoir
Nous cache dans le noir nbsp
Blasé e, naze et gazé e
La foule refoule et se dé foule
Dans les faubourgs
Jusqu' au petit jour
C' est ainsi que voulant faire vaciller
Les sorciers du pouvoir qui n' ont pas sourcillé
Le peuple a fini é parpillé, par piller comme un lé vrier
Tout un quartier ouvrier
Et pendant que les tribus s' attribuent le tribut du rififi
Le royaume s' unifie et se solidifie
Sous le d me fant me de l'é conomie
Les monarques unis pour abattre les cl tures
Se sont ré unis entre quatre murs
Afin que le plus petit de leurs murmures meure
Sous le cliquetis des armures
L' heure est au leurre
À la bataille des murailles
Audelà du portail, c' est la ripaille
Pour les quelques canailles
Mais pas une grenaille ne reste pour la marmaille
Mais pas une grenaille ne reste pour la marmaille