歌曲 | Jetlag |
歌手 | Watine |
专辑 | Geometries Sous-Cutanées (Subcutaneous Layers) |
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作词 : Catherine Watine | |
作曲 : Catherine Watine | |
JETLAG | |
Comme un jetlag, tout devient étrangement vague | |
Comme un jetlag après l’aéroport, les bateaux dans les ports s’évaporent | |
Et la mer se retire en repliant ses vagues, c’est là que tout devient étrangement vague, | |
Comme un jettlag après l’aéroport | |
T’est-il déjà venu à l’idée d’entrer dans le désordre de tes idées, | |
La tour de Babel ce n’est rien à côté … | |
Et moi je me demande quel est le courant que l’on dépense | |
D’où vient cette lumière qui me traverse comme une fulgurance | |
Le fond du problème, je peux l’évoquer, nous voulons tous l’immortalité | |
Et Faust de le constater, nous ne chanterons qu’un seul été | |
A la salle des ventes montent les enchères, la vie m’échappe mais la vie m’est chère | |
Alors j’attends que là-haut quelqu’un me repère, pour que je forme une autre paire | |
Dans une espèce de huis-clos à la Dolto | |
Je me dis que Non l’enfer ce n’est pas les autres | |
Certes, Sartre disait le contraire mais il avait Beauvoir et il ne voyait qu’elle | |
C’était pourrait dire, comme sa sentinelle | |
Certes, J’ai des hauts et des bas, mais quand on aime, on ne tombe pas | |
Et que cela ne reste pas lettres mortes, c’est l’être humain et je n’en démords point | |
Comme Adam a son Eve, tout homme a son rêve | |
Je sais, la randonnée risque d’être mortelle, | |
Je sais c’est cruel mais s’il a cru en Dieu ,’homme peut se croire éternel | |
A la salle des ventes montent les enchères, la vie m’échappe mais la vie m’est chère | |
Alors j’attends que quelqu’un là-haut me repère, pour que je forme une autre paire | |
L’enfer c’est la face cachée du paradis, difficile de mourir | |
La question c’est l’après ? et qu’en dire ? | |
Se voiler la face n’efface pas les traces du doute | |
Alors vendre son âme au diable ou la mettre sous les clous pour la mise en bière | |
La mise en doute ne date pas d’hier | |
Faust n’est pas à ranger dans les méchants, je veux juste essayer de rester sur le banc | |
Pour laisser venir à moi les petits penchants pendant qu’il est encore temps | |
La vie m’échappe mais la vie m’est chère | |
Rien n‘est plus clair, quels que soient les parades, les artifices, les traversées du désert | |
La vie m’échappe mais la vie m’est chère | |
Alors j’attends que là-haut quelqu’une me repère pour que je forme une autre paire | |
Pour que je forme une autre forme, | |
Sans norme, ce serait énorme | |
Comme une farce faite à l’homme, ce serait énorme | |
C’est là que tout devient étrangement vague, comme un jetlag, tout devient vague, | |
A la salle des ventes montent les enchères, la vie m’échappe mais la vie m’est chère | |
L’enfer ce n’est pas les autres, non, l’enfer ce n’est pas les autres | |
C’est la face cachée du paradis, mais c’est si difficile de mourir | |
C’et là que tout devient étrangement vague, comme un jetlag | |
Je sais, la randonnée risque d’être mortelle, | |
Je sais c’est cruel, mais s’il a cru en Dieu, l’homme peut se croire éternel |
zuo ci : Catherine Watine | |
zuo qu : Catherine Watine | |
JETLAG | |
Comme un jetlag, tout devient e trangement vague | |
Comme un jetlag apre s l' ae roport, les bateaux dans les ports s'e vaporent | |
Et la mer se retire en repliant ses vagues, c' est la que tout devient e trangement vague, | |
Comme un jettlag apre s l' ae roport | |
T' estil de ja venu a l' ide e d' entrer dans le de sordre de tes ide es, | |
La tour de Babel ce n' est rien a c te | |
Et moi je me demande quel est le courant que l' on de pense | |
D' ou vient cette lumie re qui me traverse comme une fulgurance | |
Le fond du proble me, je peux l'e voquer, nous voulons tous l' immortalite | |
Et Faust de le constater, nous ne chanterons qu' un seul e te | |
A la salle des ventes montent les enche res, la vie m'e chappe mais la vie m' est che re | |
Alors j' attends que la haut quelqu' un me repe re, pour que je forme une autre paire | |
Dans une espe ce de huisclos a la Dolto | |
Je me dis que Non l' enfer ce n' est pas les autres | |
Certes, Sartre disait le contraire mais il avait Beauvoir et il ne voyait qu' elle | |
C'e tait pourrait dire, comme sa sentinelle | |
Certes, J' ai des hauts et des bas, mais quand on aime, on ne tombe pas | |
Et que cela ne reste pas lettres mortes, c' est l' tre humain et je n' en de mords point | |
Comme Adam a son Eve, tout homme a son r ve | |
Je sais, la randonne e risque d' tre mortelle, | |
Je sais c' est cruel mais s' il a cru en Dieu ,' homme peut se croire e ternel | |
A la salle des ventes montent les enche res, la vie m'e chappe mais la vie m' est che re | |
Alors j' attends que quelqu' un la haut me repe re, pour que je forme une autre paire | |
L' enfer c' est la face cache e du paradis, difficile de mourir | |
La question c' est l' apre s ? et qu' en dire ? | |
Se voiler la face n' efface pas les traces du doute | |
Alors vendre son me au diable ou la mettre sous les clous pour la mise en bie re | |
La mise en doute ne date pas d' hier | |
Faust n' est pas a ranger dans les me chants, je veux juste essayer de rester sur le banc | |
Pour laisser venir a moi les petits penchants pendant qu' il est encore temps | |
La vie m'e chappe mais la vie m' est che re | |
Rien n' est plus clair, quels que soient les parades, les artifices, les traverse es du de sert | |
La vie m'e chappe mais la vie m' est che re | |
Alors j' attends que la haut quelqu' une me repe re pour que je forme une autre paire | |
Pour que je forme une autre forme, | |
Sans norme, ce serait e norme | |
Comme une farce faite a l' homme, ce serait e norme | |
C' est la que tout devient e trangement vague, comme un jetlag, tout devient vague, | |
A la salle des ventes montent les enche res, la vie m'e chappe mais la vie m' est che re | |
L' enfer ce n' est pas les autres, non, l' enfer ce n' est pas les autres | |
C' est la face cache e du paradis, mais c' est si difficile de mourir | |
C' et la que tout devient e trangement vague, comme un jetlag | |
Je sais, la randonne e risque d' tre mortelle, | |
Je sais c' est cruel, mais s' il a cru en Dieu, l' homme peut se croire e ternel |
zuò cí : Catherine Watine | |
zuò qǔ : Catherine Watine | |
JETLAG | |
Comme un jetlag, tout devient é trangement vague | |
Comme un jetlag aprè s l' aé roport, les bateaux dans les ports s'é vaporent | |
Et la mer se retire en repliant ses vagues, c' est là que tout devient é trangement vague, | |
Comme un jettlag aprè s l' aé roport | |
T' estil dé jà venu à l' idé e d' entrer dans le dé sordre de tes idé es, | |
La tour de Babel ce n' est rien à c té | |
Et moi je me demande quel est le courant que l' on dé pense | |
D' où vient cette lumiè re qui me traverse comme une fulgurance | |
Le fond du problè me, je peux l'é voquer, nous voulons tous l' immortalité | |
Et Faust de le constater, nous ne chanterons qu' un seul é té | |
A la salle des ventes montent les enchè res, la vie m'é chappe mais la vie m' est chè re | |
Alors j' attends que là haut quelqu' un me repè re, pour que je forme une autre paire | |
Dans une espè ce de huisclos à la Dolto | |
Je me dis que Non l' enfer ce n' est pas les autres | |
Certes, Sartre disait le contraire mais il avait Beauvoir et il ne voyait qu' elle | |
C'é tait pourrait dire, comme sa sentinelle | |
Certes, J' ai des hauts et des bas, mais quand on aime, on ne tombe pas | |
Et que cela ne reste pas lettres mortes, c' est l' tre humain et je n' en dé mords point | |
Comme Adam a son Eve, tout homme a son r ve | |
Je sais, la randonné e risque d' tre mortelle, | |
Je sais c' est cruel mais s' il a cru en Dieu ,' homme peut se croire é ternel | |
A la salle des ventes montent les enchè res, la vie m'é chappe mais la vie m' est chè re | |
Alors j' attends que quelqu' un là haut me repè re, pour que je forme une autre paire | |
L' enfer c' est la face caché e du paradis, difficile de mourir | |
La question c' est l' aprè s ? et qu' en dire ? | |
Se voiler la face n' efface pas les traces du doute | |
Alors vendre son me au diable ou la mettre sous les clous pour la mise en biè re | |
La mise en doute ne date pas d' hier | |
Faust n' est pas à ranger dans les mé chants, je veux juste essayer de rester sur le banc | |
Pour laisser venir à moi les petits penchants pendant qu' il est encore temps | |
La vie m'é chappe mais la vie m' est chè re | |
Rien n' est plus clair, quels que soient les parades, les artifices, les traversé es du dé sert | |
La vie m'é chappe mais la vie m' est chè re | |
Alors j' attends que là haut quelqu' une me repè re pour que je forme une autre paire | |
Pour que je forme une autre forme, | |
Sans norme, ce serait é norme | |
Comme une farce faite à l' homme, ce serait é norme | |
C' est là que tout devient é trangement vague, comme un jetlag, tout devient vague, | |
A la salle des ventes montent les enchè res, la vie m'é chappe mais la vie m' est chè re | |
L' enfer ce n' est pas les autres, non, l' enfer ce n' est pas les autres | |
C' est la face caché e du paradis, mais c' est si difficile de mourir | |
C' et là que tout devient é trangement vague, comme un jetlag | |
Je sais, la randonné e risque d' tre mortelle, | |
Je sais c' est cruel, mais s' il a cru en Dieu, l' homme peut se croire é ternel |