Elle Chante

歌曲 Elle Chante
歌手 Bernard Lavilliers
歌手 Césaria Évora
专辑 Carnets De Bord

歌词

(feat. Cesaria Evora)
Elle chante un peu voilé souple comme le vent
C'est une mélodie sans paroles hors du temps
Elle chante les yeux fermés en fléchissant le cou
Plongée dans un pays très éloigné de vous
Alors les mots qu'elle improvise
Sont faits de violence et d couleurs
Sa voix qui était fluide d'abord se brise et se renforce
Comme les blessures de l'âme dans la profondeur de l'écorce
Mais d'où lui vient cette infinie douceur
Cette sensualité mélangée de pudeur
Ses belles mains quand elles se posent
Sur une épaule ou sur mon bras
Tout se métamorphose
On oublie la mort on s'en va
Elle chante la terre rouge la sèche la stérile
Elle chante les hommes proscrits les sans terre dans les villes
Les jeunes filles en noir et tous les enfants dans les rues
Les longues années sans pluie et ceux qu'on n'a jamais revus
Elle a ce don cette lumière pour chanter des mots à sa terre
Le rêve qui la berce devient un grande vent ravageur
Et puis innocemment parle d'amour et de chaleur
Mais d'où lui vient cette infinie douceur
Cette sensualité mélangée de pudeur
Ses belles mains quand elles se posent
Sur une épaule ou sur mon bras
Tout se métamorphose
On oublie la mort on s'en va
Elle chante des mots qu'elle improvise
Venus de loin des profondeurs
Sa voix qui était fluide d'abord se brise et se renforce
Elle est la vie la mort la fragilité et la force
Elle est la vie la mort la fragilité et la force
(Merci à daywid pour cettes paroles)

拼音

feat. Cesaria Evora
Elle chante un peu voilé souple comme le vent
C' est une mé lodie sans paroles hors du temps
Elle chante les yeux fermé s en flé chissant le cou
Plongé e dans un pays trè s é loigné de vous
Alors les mots qu' elle improvise
Sont faits de violence et d couleurs
Sa voix qui é tait fluide d' abord se brise et se renforce
Comme les blessures de l' me dans la profondeur de l'é corce
Mais d' où lui vient cette infinie douceur
Cette sensualité mé langé e de pudeur
Ses belles mains quand elles se posent
Sur une é paule ou sur mon bras
Tout se mé tamorphose
On oublie la mort on s' en va
Elle chante la terre rouge la sè che la sté rile
Elle chante les hommes proscrits les sans terre dans les villes
Les jeunes filles en noir et tous les enfants dans les rues
Les longues anné es sans pluie et ceux qu' on n' a jamais revus
Elle a ce don cette lumiè re pour chanter des mots à sa terre
Le r ve qui la berce devient un grande vent ravageur
Et puis innocemment parle d' amour et de chaleur
Mais d' où lui vient cette infinie douceur
Cette sensualité mé langé e de pudeur
Ses belles mains quand elles se posent
Sur une é paule ou sur mon bras
Tout se mé tamorphose
On oublie la mort on s' en va
Elle chante des mots qu' elle improvise
Venus de loin des profondeurs
Sa voix qui é tait fluide d' abord se brise et se renforce
Elle est la vie la mort la fragilité et la force
Elle est la vie la mort la fragilité et la force
Merci à daywid pour cettes paroles