Étranges visions perdues dans mon sommeil | |
L'homme est assis, violemment immobile. | |
Il trempe sa lame dans la médiocrité, | |
Et dans le sang la pointe immaculée | |
Ivre mort, suspendu aux lèvres du mépris | |
Il compose et un long sillon coule. | |
Il écorche l'esquisse jusqu'à en fléchir la trame | |
Il tapisse mon corps de ses mucosités | |
A l'ornière ruisselle l'éclat de ma structure viscérale | |
Le prisme et ses reflets ne renvoient que des cendres | |
Les bases sont fondées. | |
Ma part d'ombre t'appartient, | |
Tu porteras mes chaînes | |
L’œuvre inachevée, tableau de mon âme déconstruite | |
Ma part d'ombre t'appartient désormais. | |
Tu restes aveugle, tes mains tracent avec le mauvais sang | |
Ta signature sera celle de mon irréversible perte, | |
A laquelle je suis enchaîné | |
Le mauvais guette, à l'affût de l'usure du temps, | |
Qui le laissera paraître | |
Et prendre le dessus lorsque l'écorce s'effritera. | |
Être de sable, chroniqueur de la lune qui ne peut se mouvoir | |
sans ces deux sabres au sein de ce trou noir, | |
discordants pouvoirs, | |
de cette guerre interne naîtra l'esquisse, | |
cauchemar, existence féerique, apathie ou bien haine exquise. | |
Tu peux brûler ma langue, écorcher mes paupières, | |
Je saurai malgré tout | |
Et je rêve d'un nœud coulant se refermant inexorablement sur ma gorge. |
É tranges visions perdues dans mon sommeil | |
L' homme est assis, violemment immobile. | |
Il trempe sa lame dans la me diocrite, | |
Et dans le sang la pointe immacule e | |
Ivre mort, suspendu aux le vres du me pris | |
Il compose et un long sillon coule. | |
Il e corche l' esquisse jusqu'a en fle chir la trame | |
Il tapisse mon corps de ses mucosite s | |
A l' ornie re ruisselle l'e clat de ma structure visce rale | |
Le prisme et ses reflets ne renvoient que des cendres | |
Les bases sont fonde es. | |
Ma part d' ombre t' appartient, | |
Tu porteras mes cha nes | |
L' uvre inacheve e, tableau de mon me de construite | |
Ma part d' ombre t' appartient de sormais. | |
Tu restes aveugle, tes mains tracent avec le mauvais sang | |
Ta signature sera celle de mon irre versible perte, | |
A laquelle je suis encha ne | |
Le mauvais guette, a l' aff t de l' usure du temps, | |
Qui le laissera para tre | |
Et prendre le dessus lorsque l'e corce s' effritera. | |
tre de sable, chroniqueur de la lune qui ne peut se mouvoir | |
sans ces deux sabres au sein de ce trou noir, | |
discordants pouvoirs, | |
de cette guerre interne na tra l' esquisse, | |
cauchemar, existence fe erique, apathie ou bien haine exquise. | |
Tu peux br ler ma langue, e corcher mes paupie res, | |
Je saurai malgre tout | |
Et je r ve d' un n ud coulant se refermant inexorablement sur ma gorge. |
É tranges visions perdues dans mon sommeil | |
L' homme est assis, violemment immobile. | |
Il trempe sa lame dans la mé diocrité, | |
Et dans le sang la pointe immaculé e | |
Ivre mort, suspendu aux lè vres du mé pris | |
Il compose et un long sillon coule. | |
Il é corche l' esquisse jusqu'à en flé chir la trame | |
Il tapisse mon corps de ses mucosité s | |
A l' orniè re ruisselle l'é clat de ma structure viscé rale | |
Le prisme et ses reflets ne renvoient que des cendres | |
Les bases sont fondé es. | |
Ma part d' ombre t' appartient, | |
Tu porteras mes cha nes | |
L' uvre inachevé e, tableau de mon me dé construite | |
Ma part d' ombre t' appartient dé sormais. | |
Tu restes aveugle, tes mains tracent avec le mauvais sang | |
Ta signature sera celle de mon irré versible perte, | |
A laquelle je suis encha né | |
Le mauvais guette, à l' aff t de l' usure du temps, | |
Qui le laissera para tre | |
Et prendre le dessus lorsque l'é corce s' effritera. | |
tre de sable, chroniqueur de la lune qui ne peut se mouvoir | |
sans ces deux sabres au sein de ce trou noir, | |
discordants pouvoirs, | |
de cette guerre interne na tra l' esquisse, | |
cauchemar, existence fé erique, apathie ou bien haine exquise. | |
Tu peux br ler ma langue, é corcher mes paupiè res, | |
Je saurai malgré tout | |
Et je r ve d' un n ud coulant se refermant inexorablement sur ma gorge. |