Un miroir pur qui te rend misérable

歌曲 Un miroir pur qui te rend misérable
歌手 Celeste
专辑 Morte(s) Nee(s)

歌词

Elles couraient dans les cours d'écoles
Et irradiaient nos rêves
D'un sourire impalpable
Elles partageaient leurs craintes et leurs peurs
Et s'abandonnaient
Adossées à leurs cartables
Insouciantes et adorables
Un miroir pur qui te rend misérable
Elles se réfugiaient dans leurs bras
Toutes penaudes mais effrayées car
On les a jetées
Contre un mur
Une à une comme des compagnons d'infortune
Où est passée la magie
Seraient-ce ces chevaliers qui cloués au lit
Nous dérobent et rossent
Nos enfants tant aimées et propagent
Cette torpeur aveuglée
C'était pourtant de l'or
C'était pourtant de l'or
C'était pourtant bien de l'or qui coulait
Au bout de leurs doigts
Mais c'est de l'encre qui gît dès lors
Au creux au fond de leurs reins
Mais c'est de l'or qui gît dès lors
Qui brille encore
Et c'est leur corps qui gît encore
Au fond au creux de cette marre.
C'était pourtant bien de l'or qui coulait
Au bout de leurs doigts
Mais c'est de l'encre qui gît dès lors
Au creux au fond de leurs reins
Mais c'est de l'or qui gît dès lors
Qui brille encore
Et c'est leur corps qui gît encore
Au fond au creux de cette marre.

拼音

Elles couraient dans les cours d'é coles
Et irradiaient nos r ves
D' un sourire impalpable
Elles partageaient leurs craintes et leurs peurs
Et s' abandonnaient
Adossé es à leurs cartables
Insouciantes et adorables
Un miroir pur qui te rend misé rable
Elles se ré fugiaient dans leurs bras
Toutes penaudes mais effrayé es car
On les a jeté es
Contre un mur
Une à une comme des compagnons d' infortune
Où est passé e la magie
Seraientce ces chevaliers qui cloué s au lit
Nous dé robent et rossent
Nos enfants tant aimé es et propagent
Cette torpeur aveuglé e
C'é tait pourtant de l' or
C'é tait pourtant de l' or
C'é tait pourtant bien de l' or qui coulait
Au bout de leurs doigts
Mais c' est de l' encre qui g t dè s lors
Au creux au fond de leurs reins
Mais c' est de l' or qui g t dè s lors
Qui brille encore
Et c' est leur corps qui g t encore
Au fond au creux de cette marre.
C'é tait pourtant bien de l' or qui coulait
Au bout de leurs doigts
Mais c' est de l' encre qui g t dè s lors
Au creux au fond de leurs reins
Mais c' est de l' or qui g t dè s lors
Qui brille encore
Et c' est leur corps qui g t encore
Au fond au creux de cette marre.