Comme un torrent qui vient tout droit de la montagne | |
Et qui s'enfuit en bondissant parmi les champs. | |
Et couvrant dans la campagne | |
Toutes les fleurs du printemps. | |
Mon cur tout neuf est descendu parmi la ville, | |
Gonflé d'amour et de bonheur à partager, | |
Mais mon âme est moins tranquille | |
Depuis que j'ai tout quitté. | |
Là-haut tout est lumière. | |
En bas tout est chimère. | |
Mais le torrent oublie bien vite sa montagne, | |
Et comme lui suivant mon destin je descends, | |
Et de colline en campagne | |
J'ai perdu mon cur d'enfant. | |
Mes yeux tout neufs t'ont rencontré parmi la ville | |
Et sans savoir ils t'ont donné leur liberté. | |
La rivière s'en va tranquille, | |
Mais moi j'ai voulu rester. | |
Pourtant souvent je pense | |
Au ciel de mon enfance. | |
Ce soir tu vois je veux retrouver la vie douce, | |
Vivre avec toi dans la clarté de mes vingt ans. | |
Et remonter vers la source | |
D'où jaillissent les printemps. | |
Dans le silence des sapins blancs | |
Tu connaîtras près du torrent | |
Mon cur d'enfant. |
Comme un torrent qui vient tout droit de la montagne | |
Et qui s' enfuit en bondissant parmi les champs. | |
Et couvrant dans la campagne | |
Toutes les fleurs du printemps. | |
Mon c ur tout neuf est descendu parmi la ville, | |
Gonfle d' amour et de bonheur a partager, | |
Mais mon me est moins tranquille | |
Depuis que j' ai tout quitte. | |
La haut tout est lumie re. | |
En bas tout est chime re. | |
Mais le torrent oublie bien vite sa montagne, | |
Et comme lui suivant mon destin je descends, | |
Et de colline en campagne | |
J' ai perdu mon c ur d' enfant. | |
Mes yeux tout neufs t' ont rencontre parmi la ville | |
Et sans savoir ils t' ont donne leur liberte. | |
La rivie re s' en va tranquille, | |
Mais moi j' ai voulu rester. | |
Pourtant souvent je pense | |
Au ciel de mon enfance. | |
Ce soir tu vois je veux retrouver la vie douce, | |
Vivre avec toi dans la clarte de mes vingt ans. | |
Et remonter vers la source | |
D' ou jaillissent les printemps. | |
Dans le silence des sapins blancs | |
Tu conna tras pre s du torrent | |
Mon c ur d' enfant. |
Comme un torrent qui vient tout droit de la montagne | |
Et qui s' enfuit en bondissant parmi les champs. | |
Et couvrant dans la campagne | |
Toutes les fleurs du printemps. | |
Mon c ur tout neuf est descendu parmi la ville, | |
Gonflé d' amour et de bonheur à partager, | |
Mais mon me est moins tranquille | |
Depuis que j' ai tout quitté. | |
Là haut tout est lumiè re. | |
En bas tout est chimè re. | |
Mais le torrent oublie bien vite sa montagne, | |
Et comme lui suivant mon destin je descends, | |
Et de colline en campagne | |
J' ai perdu mon c ur d' enfant. | |
Mes yeux tout neufs t' ont rencontré parmi la ville | |
Et sans savoir ils t' ont donné leur liberté. | |
La riviè re s' en va tranquille, | |
Mais moi j' ai voulu rester. | |
Pourtant souvent je pense | |
Au ciel de mon enfance. | |
Ce soir tu vois je veux retrouver la vie douce, | |
Vivre avec toi dans la clarté de mes vingt ans. | |
Et remonter vers la source | |
D' où jaillissent les printemps. | |
Dans le silence des sapins blancs | |
Tu conna tras prè s du torrent | |
Mon c ur d' enfant. |