Nature morte

歌曲 Nature morte
歌手 LaBotanique
专辑 47e parallèle

歌词

作词 : Ronan Moinet
作曲 : Thomas Cochini
Ici quand la grisaille gribouille le ciel
Les tours se teignent de ce gris anthracite
Les hommes se plaignent autant du temps qu’il fait Que de celui qui passe
Et si le ciel nous tombait sur la tête ?
Alors je guette en quête de l’éclaircie
De discrets sourires lorsque nuages s’enfuient
La nature ne perd pas prise, elle se réjouit
Break
Je me demande souvent
A quoi cet arbre peut-il penser ?
La ville ici est si dense
Dans cette jungle peut-il songer ?
Couplet 2
Les racines immobiles dans le béton
Il nous regarde, petit monde qui tourne en rond Les lourdes branches qui filent vers les buildings Il doit se dire, ils ont perdu la raison
Il est vrai que les couleurs de l’automne
Qui s’éparpillent sur un pant de montagne
Ont plus de charme que ses feuilles qui somnolent Quelque part, perdues sur le macadam
Entre les tours les arbres me murmurent
Vous avez laissez passer les saisons
Les lignes de l’horizon se clôturent
L’immense nature a des nodules sur le poumon
Cachés derrière des idées raisonnables
Nos esprits ne sont-ils que rationnels ? Aujourd’hui ou sont passés les chamans ? Dans nos vies que sont devenus leurs totems ?

拼音

zuò cí : Ronan Moinet
zuò qǔ : Thomas Cochini
Ici quand la grisaille gribouille le ciel
Les tours se teignent de ce gris anthracite
Les hommes se plaignent autant du temps qu' il fait Que de celui qui passe
Et si le ciel nous tombait sur la te te ?
Alors je guette en que te de l' e claircie
De discrets sourires lorsque nuages s' enfuient
La nature ne perd pas prise, elle se re jouit
Break
Je me demande souvent
A quoi cet arbre peutil penser ?
La ville ici est si dense
Dans cette jungle peutil songer ?
Couplet 2
Les racines immobiles dans le be ton
Il nous regarde, petit monde qui tourne en rond Les lourdes branches qui filent vers les buildings Il doit se dire, ils ont perdu la raison
Il est vrai que les couleurs de l' automne
Qui s' e parpillent sur un pant de montagne
Ont plus de charme que ses feuilles qui somnolent Quelque part, perdues sur le macadam
Entre les tours les arbres me murmurent
Vous avez laissez passer les saisons
Les lignes de l' horizon se clo turent
L' immense nature a des nodules sur le poumon
Cache s derrie re des ide es raisonnables
Nos esprits ne sontils que rationnels ? Aujourd' hui ou sont passe s les chamans ? Dans nos vies que sont devenus leurs totems ?