歌曲 | Putain vous m'aurez plus |
歌手 | Saez |
专辑 | Saez (Varsovie, L'Alhambra, Paris) |
Ami,prend ma lanterne | |
Car j'ai perdu ma flamme | |
Mon amour est parti | |
Elle a jeté mon âme | |
A bouffer au néant | |
Me laissant le coeur vide | |
Elle a fait des fertiles des averses arides | |
Et l'horreur du monde n'est rien en comparaison | |
A ce que l'amour fait, à ceux qui dans l'union | |
Pensent oublier un peu qu'on est triste ici bas | |
Et qu'ici solitude est le dernier repas | |
Elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu | |
Qu'on prend pour l'océan, dans lesquels on voit Dieu | |
Qui font toucher du bout des doigts les horizons | |
Et toujours à la fin on est seul au milieu... | |
Des vagues de sanglots et du sel dans la gorge | |
Et du sel sur la plaie de ce coeur tatoué | |
A son nom que l'on crie au fond des vers de vin | |
A se dire que la vie oui n'était qu'une putain | |
Ami, regarde moi j'ai le coeur qui renverse | |
La mémoire de ses yeux qui me colle à la peau | |
Et dans les bars du port je cherche magie noire | |
Pour délivrer mon corps du sort qu'on m'a jeté | |
Et le sourire des filles non ne me fait plus rien | |
Et je commence à croire que les hommes qui on pris d'autres hommes pour amour | |
On regle la question, après tout dis moi qu'est ce qu'elles ont de plus que nous? | |
Si ce n'est cette force qui fait qu'elles vous oublient | |
Cette horreur au fond d'elles ou à ce monstre qui crie | |
Quand elles vous font l'amour tu sais qu'elle n'oublient pas | |
Qu'il n y a qu'à la nature qu'elles ne tiennent paroles | |
A tout ceux dans leur bras qui sont fait prisonniers | |
J'ai l'âme solidaire et puis ma sympathie | |
A ces fous qui comme moi finiront pas la nuit | |
Je vous le dis putain, putains vous m'aurez plus .. | |
Que je meurs à l'instant si l'envie me reprend | |
De remettre ma tête dans la gueule du serpent | |
De me laisser encore, crucifier le coeur | |
Pour un joli sourire, au parfum de leurs fleurs | |
Marguerite ou Tulipe,et de rose a Lila | |
Tu sais l'ami pour moi elles ont toutes ici bas | |
Quand elles vous montrent le ciel, qu'elles vous disent qu'elles vous aiment | |
Elles ont toutes pour moi l'odeur des chrysanthèmes | |
Adieu les gentilles et adieu les j'en pleure | |
Adieu les maudites qui ont pris ma lueur | |
Qui ont jeté dans le noir mes yeux et puis les tiens | |
Contre le chant du cygne et les beautés qu'elles crèvent | |
Toutes j'en peux plus de ces jeux qui nous tuent | |
J'en ai marre de ce coeur mon Dieu, qui ne bat plus | |
Et qui toujours s'incline au pied de fausses blondes | |
Qui nous mènent à la cime, qui nous trainent à la tombe |
Ami, prend ma lanterne | |
Car j' ai perdu ma flamme | |
Mon amour est parti | |
Elle a jeté mon me | |
A bouffer au né ant | |
Me laissant le coeur vide | |
Elle a fait des fertiles des averses arides | |
Et l' horreur du monde n' est rien en comparaison | |
A ce que l' amour fait, à ceux qui dans l' union | |
Pensent oublier un peu qu' on est triste ici bas | |
Et qu' ici solitude est le dernier repas | |
Elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu | |
Qu' on prend pour l' océ an, dans lesquels on voit Dieu | |
Qui font toucher du bout des doigts les horizons | |
Et toujours à la fin on est seul au milieu... | |
Des vagues de sanglots et du sel dans la gorge | |
Et du sel sur la plaie de ce coeur tatoué | |
A son nom que l' on crie au fond des vers de vin | |
A se dire que la vie oui n'é tait qu' une putain | |
Ami, regarde moi j' ai le coeur qui renverse | |
La mé moire de ses yeux qui me colle à la peau | |
Et dans les bars du port je cherche magie noire | |
Pour dé livrer mon corps du sort qu' on m' a jeté | |
Et le sourire des filles non ne me fait plus rien | |
Et je commence à croire que les hommes qui on pris d' autres hommes pour amour | |
On regle la question, aprè s tout dis moi qu' est ce qu' elles ont de plus que nous? | |
Si ce n' est cette force qui fait qu' elles vous oublient | |
Cette horreur au fond d' elles ou à ce monstre qui crie | |
Quand elles vous font l' amour tu sais qu' elle n' oublient pas | |
Qu' il n y a qu'à la nature qu' elles ne tiennent paroles | |
A tout ceux dans leur bras qui sont fait prisonniers | |
J' ai l' me solidaire et puis ma sympathie | |
A ces fous qui comme moi finiront pas la nuit | |
Je vous le dis putain, putains vous m' aurez plus .. | |
Que je meurs à l' instant si l' envie me reprend | |
De remettre ma t te dans la gueule du serpent | |
De me laisser encore, crucifier le coeur | |
Pour un joli sourire, au parfum de leurs fleurs | |
Marguerite ou Tulipe, et de rose a Lila | |
Tu sais l' ami pour moi elles ont toutes ici bas | |
Quand elles vous montrent le ciel, qu' elles vous disent qu' elles vous aiment | |
Elles ont toutes pour moi l' odeur des chrysanthè mes | |
Adieu les gentilles et adieu les j' en pleure | |
Adieu les maudites qui ont pris ma lueur | |
Qui ont jeté dans le noir mes yeux et puis les tiens | |
Contre le chant du cygne et les beauté s qu' elles crè vent | |
Toutes j' en peux plus de ces jeux qui nous tuent | |
J' en ai marre de ce coeur mon Dieu, qui ne bat plus | |
Et qui toujours s' incline au pied de fausses blondes | |
Qui nous mè nent à la cime, qui nous trainent à la tombe |