歌曲 | Botzaris |
歌手 | Mano Solo |
专辑 | Les Animals |
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Rue Botzaris, c'est sous la lune, | |
Les buttes Chaumont, dans la brume, | |
Je longe les rendez-vous, | |
Ils seront là, ils seront tous fous, | |
Les amoureux d'aujourd'hui, | |
Savent qu'il reste des bancs dans Paris, | |
Demain,le soleil d'hiver, | |
Caressera les bouquets fébriles, de l'espoir | |
Plein la gibecière ils iront tranquilles, | |
Et les pigeons perdront leurs plumes, | |
Avec elles nous écrirons, | |
L'histoire des cœurs du bitume, | |
Qui, dans les squares, nous survivront, | |
C'est sans fin que l'amour citadin, | |
S'allonge sur du bois vert, | |
C'est depuis toujours qu'y habitent l'amour et ses discours, | |
On pourrait croire qu'assassin, | |
Le temps nous casse, | |
On pourrait croire que le destin fatalement se trace, | |
Quitte un jour où abandonner son tour, | |
À deux paires d'yeux, deux peaux de pêche, | |
Éclats de rire de la jeunesse. | |
Mais ce matin, il n'en est rien, | |
Je t'ai vue de loin, | |
Ton journal à la main, | |
À midi et d'aujourd'hui, de demain, | |
Tu portes fière l'image de ta promesse, | |
Et sans l'savoir, c'est à moi qu'elle s'adresse. | |
Oh,tant qu'il y aura des bancs, reste un pays de sentiments (x12) |
Rue Botzaris, c' est sous la lune, | |
Les buttes Chaumont, dans la brume, | |
Je longe les rendezvous, | |
Ils seront la, ils seront tous fous, | |
Les amoureux d' aujourd' hui, | |
Savent qu' il reste des bancs dans Paris, | |
Demain, le soleil d' hiver, | |
Caressera les bouquets fe briles, de l' espoir | |
Plein la gibecie re ils iront tranquilles, | |
Et les pigeons perdront leurs plumes, | |
Avec elles nous e crirons, | |
L' histoire des c urs du bitume, | |
Qui, dans les squares, nous survivront, | |
C' est sans fin que l' amour citadin, | |
S' allonge sur du bois vert, | |
C' est depuis toujours qu' y habitent l' amour et ses discours, | |
On pourrait croire qu' assassin, | |
Le temps nous casse, | |
On pourrait croire que le destin fatalement se trace, | |
Quitte un jour ou abandonner son tour, | |
À deux paires d' yeux, deux peaux de p che, | |
É clats de rire de la jeunesse. | |
Mais ce matin, il n' en est rien, | |
Je t' ai vue de loin, | |
Ton journal a la main, | |
À midi et d' aujourd' hui, de demain, | |
Tu portes fie re l' image de ta promesse, | |
Et sans l' savoir, c' est a moi qu' elle s' adresse. | |
Oh, tant qu' il y aura des bancs, reste un pays de sentiments x12 |
Rue Botzaris, c' est sous la lune, | |
Les buttes Chaumont, dans la brume, | |
Je longe les rendezvous, | |
Ils seront là, ils seront tous fous, | |
Les amoureux d' aujourd' hui, | |
Savent qu' il reste des bancs dans Paris, | |
Demain, le soleil d' hiver, | |
Caressera les bouquets fé briles, de l' espoir | |
Plein la gibeciè re ils iront tranquilles, | |
Et les pigeons perdront leurs plumes, | |
Avec elles nous é crirons, | |
L' histoire des c urs du bitume, | |
Qui, dans les squares, nous survivront, | |
C' est sans fin que l' amour citadin, | |
S' allonge sur du bois vert, | |
C' est depuis toujours qu' y habitent l' amour et ses discours, | |
On pourrait croire qu' assassin, | |
Le temps nous casse, | |
On pourrait croire que le destin fatalement se trace, | |
Quitte un jour où abandonner son tour, | |
À deux paires d' yeux, deux peaux de p che, | |
É clats de rire de la jeunesse. | |
Mais ce matin, il n' en est rien, | |
Je t' ai vue de loin, | |
Ton journal à la main, | |
À midi et d' aujourd' hui, de demain, | |
Tu portes fiè re l' image de ta promesse, | |
Et sans l' savoir, c' est à moi qu' elle s' adresse. | |
Oh, tant qu' il y aura des bancs, reste un pays de sentiments x12 |