作曲 : Solo | |
Depuis quelque temps je le sens | |
Un son nouveau courir sur ma peau | |
Qui accompagne les fous battements de mon cœur | |
Sourdement sourdement ca cogne là-dedans | |
Et de loin en loin ça se rapproche une marée de triples croches | |
Qui martèlent les clous de ma nouvelle maison, | |
Au rythme d'un tout, qui m'invite à la passion. | |
Et je taille ma route plus rien ne me dégoute | |
Poussé par mon instinct je trace ma vie | |
A grand coups de fusain | |
Et l'écho me revien décalé | |
Du temps où je battais le pavé | |
Et chaque jour il devient plus fort | |
Dans chaque partie de mon corps | |
Ignorant les dérives bousculant les fatigues | |
Il pousse mon âme vers l'avant | |
Alors que sorties du tempo me poussent des ailes dans le dos | |
Sans limites chveuchant cette musiue | |
Je me déroule la tripe | |
Le son du tambour est mon meilleur ami | |
Chaque jour il me ramène a la vie | |
Il bouscule mon sommeil me promets monts et merveilles | |
Et donne au temps se propre mesure | |
Cicatrisnt toutes les blessures | |
(Merci à broggini pour cettes paroles) |
zuo qu : Solo | |
Depuis quelque temps je le sens | |
Un son nouveau courir sur ma peau | |
Qui accompagne les fous battements de mon c ur | |
Sourdement sourdement ca cogne la dedans | |
Et de loin en loin a se rapproche une mare e de triples croches | |
Qui marte lent les clous de ma nouvelle maison, | |
Au rythme d' un tout, qui m' invite a la passion. | |
Et je taille ma route plus rien ne me de goute | |
Pousse par mon instinct je trace ma vie | |
A grand coups de fusain | |
Et l'e cho me revien de cale | |
Du temps ou je battais le pave | |
Et chaque jour il devient plus fort | |
Dans chaque partie de mon corps | |
Ignorant les de rives bousculant les fatigues | |
Il pousse mon me vers l' avant | |
Alors que sorties du tempo me poussent des ailes dans le dos | |
Sans limites chveuchant cette musiue | |
Je me de roule la tripe | |
Le son du tambour est mon meilleur ami | |
Chaque jour il me rame ne a la vie | |
Il bouscule mon sommeil me promets monts et merveilles | |
Et donne au temps se propre mesure | |
Cicatrisnt toutes les blessures | |
Merci a broggini pour cettes paroles |
zuò qǔ : Solo | |
Depuis quelque temps je le sens | |
Un son nouveau courir sur ma peau | |
Qui accompagne les fous battements de mon c ur | |
Sourdement sourdement ca cogne là dedans | |
Et de loin en loin a se rapproche une maré e de triples croches | |
Qui martè lent les clous de ma nouvelle maison, | |
Au rythme d' un tout, qui m' invite à la passion. | |
Et je taille ma route plus rien ne me dé goute | |
Poussé par mon instinct je trace ma vie | |
A grand coups de fusain | |
Et l'é cho me revien dé calé | |
Du temps où je battais le pavé | |
Et chaque jour il devient plus fort | |
Dans chaque partie de mon corps | |
Ignorant les dé rives bousculant les fatigues | |
Il pousse mon me vers l' avant | |
Alors que sorties du tempo me poussent des ailes dans le dos | |
Sans limites chveuchant cette musiue | |
Je me dé roule la tripe | |
Le son du tambour est mon meilleur ami | |
Chaque jour il me ramè ne a la vie | |
Il bouscule mon sommeil me promets monts et merveilles | |
Et donne au temps se propre mesure | |
Cicatrisnt toutes les blessures | |
Merci à broggini pour cettes paroles |