作曲 : Gekko, Solo | |
Tu joues seulement pour gagner à ce jeu sans règles | |
Ou seulement les tiennes qu'il faut déchiffrer | |
Comme les os d'un griot dans les clous que tu sèmes derrière ton dos | |
Qui me transforme en statue de plaies sur laquelle tu jettes du sel | |
Et tu disparais dans l'aveuglante douleur | |
Et ce seront les sentiments d'un autre qui courront sur ta peau | |
Comme un jeu de chien fou | |
Se seront ces mots que tu engouffreras | |
Ses mains d'or et de satin ton favori butin | |
Tu lui prendras tout ce qu'il a, tu y prendras plaisir | |
Et lui dans le mutisme de l'échec, il ne pourras pas me dire | |
Qui tu étais cette fois-ci | |
De quelle façon tu prétendais tes envies | |
Et de son coeur écrasé s'échapperont les milles questions | |
Qui rejoindront les miennes dans le ruisseau | |
Et tu iras d'un bond tranquille secouer d'autre mers, d'autre îles | |
Changeant de couleur au gré du courant | |
Te faisant rétif récif tu t'amarres de tristes épaves | |
Que tu abandonnes la tripe à vif découpées par ton sillage | |
Sans même le radeau d'un mot gentil | |
Et abordant d'autres rivages qui seras-tu cette fois-ci | |
Pousseras-tu les mêmes cris, saura-t-il s'en amuser comme tant d'autres | |
Se fera-t-il abuser du flot de tes jouissances | |
De laquelle de tes révolutions seras-tu le fer de lance | |
Sera-t-il transpercé de ton indépendance | |
De quelle dorure peindras-tu ton coeur | |
De quel déguisement habilleras-tu tes sentiments | |
Ne lui laisseras-tu comme vague odeur que celle fétide d'un lendemain de fête | |
Une fête que toi tu t'es faite | |
Mais que lui ça lui aura fait perdre la tête | |
Tu joues seulement pour gagner | |
Tu joues toute seule |
zuo qu : Gekko, Solo | |
Tu joues seulement pour gagner a ce jeu sans re gles | |
Ou seulement les tiennes qu' il faut de chiffrer | |
Comme les os d' un griot dans les clous que tu se mes derrie re ton dos | |
Qui me transforme en statue de plaies sur laquelle tu jettes du sel | |
Et tu disparais dans l' aveuglante douleur | |
Et ce seront les sentiments d' un autre qui courront sur ta peau | |
Comme un jeu de chien fou | |
Se seront ces mots que tu engouffreras | |
Ses mains d' or et de satin ton favori butin | |
Tu lui prendras tout ce qu' il a, tu y prendras plaisir | |
Et lui dans le mutisme de l'e chec, il ne pourras pas me dire | |
Qui tu e tais cette foisci | |
De quelle fa on tu pre tendais tes envies | |
Et de son coeur e crase s'e chapperont les milles questions | |
Qui rejoindront les miennes dans le ruisseau | |
Et tu iras d' un bond tranquille secouer d' autre mers, d' autre les | |
Changeant de couleur au gre du courant | |
Te faisant re tif re cif tu t' amarres de tristes e paves | |
Que tu abandonnes la tripe a vif de coupe es par ton sillage | |
Sans m me le radeau d' un mot gentil | |
Et abordant d' autres rivages qui serastu cette foisci | |
Pousserastu les m mes cris, sauratil s' en amuser comme tant d' autres | |
Se feratil abuser du flot de tes jouissances | |
De laquelle de tes re volutions serastu le fer de lance | |
Seratil transperce de ton inde pendance | |
De quelle dorure peindrastu ton coeur | |
De quel de guisement habillerastu tes sentiments | |
Ne lui laisserastu comme vague odeur que celle fe tide d' un lendemain de f te | |
Une f te que toi tu t' es faite | |
Mais que lui a lui aura fait perdre la t te | |
Tu joues seulement pour gagner | |
Tu joues toute seule |
zuò qǔ : Gekko, Solo | |
Tu joues seulement pour gagner à ce jeu sans rè gles | |
Ou seulement les tiennes qu' il faut dé chiffrer | |
Comme les os d' un griot dans les clous que tu sè mes derriè re ton dos | |
Qui me transforme en statue de plaies sur laquelle tu jettes du sel | |
Et tu disparais dans l' aveuglante douleur | |
Et ce seront les sentiments d' un autre qui courront sur ta peau | |
Comme un jeu de chien fou | |
Se seront ces mots que tu engouffreras | |
Ses mains d' or et de satin ton favori butin | |
Tu lui prendras tout ce qu' il a, tu y prendras plaisir | |
Et lui dans le mutisme de l'é chec, il ne pourras pas me dire | |
Qui tu é tais cette foisci | |
De quelle fa on tu pré tendais tes envies | |
Et de son coeur é crasé s'é chapperont les milles questions | |
Qui rejoindront les miennes dans le ruisseau | |
Et tu iras d' un bond tranquille secouer d' autre mers, d' autre les | |
Changeant de couleur au gré du courant | |
Te faisant ré tif ré cif tu t' amarres de tristes é paves | |
Que tu abandonnes la tripe à vif dé coupé es par ton sillage | |
Sans m me le radeau d' un mot gentil | |
Et abordant d' autres rivages qui serastu cette foisci | |
Pousserastu les m mes cris, sauratil s' en amuser comme tant d' autres | |
Se feratil abuser du flot de tes jouissances | |
De laquelle de tes ré volutions serastu le fer de lance | |
Seratil transpercé de ton indé pendance | |
De quelle dorure peindrastu ton coeur | |
De quel dé guisement habillerastu tes sentiments | |
Ne lui laisserastu comme vague odeur que celle fé tide d' un lendemain de f te | |
Une f te que toi tu t' es faite | |
Mais que lui a lui aura fait perdre la t te | |
Tu joues seulement pour gagner | |
Tu joues toute seule |