作曲 : Solo | |
Les habitants du feu rouge n'ont plus qu'une main qui bouge | |
Pendant que l'autre s'agrippe encore | |
Dans l'espoir de ne pas faire partie du décor | |
Ils n'ont pas la haine, ils n'ont plus rien | |
Que ce reflet d'eux mêmes qui s'estompe dans les glaces qui gênées se remontent | |
Ils ont la même couleur que les murs | |
Seuls leur yeux témoignent encore d'une aventure | |
D'un raz-de-marée qui les a jetés là | |
Marins des trottoirs sans ports ni belles histoires | |
Les seuls embruns sur leur visage | |
Sont ceux du dédain sur leur passage | |
Les habitants du feu rouge bougent quand tout le monde s'arrête | |
À contre-courant dans un monde en mouvement | |
Un peu de répit dans la vitesse du mépris | |
Le vert est leur ennemi | |
Quand il libère les gens d'une réalité de la vie | |
De ces hommes qui toutes les trois minutes montent sur scène | |
En espérant ne pas refaire un bide | |
Juste histoire de remplir le leur | |
Ce n'est pas eux mais leur estomac | |
Qui est tordu rongé par le trac | |
Ils sont prêts à tout même ne pas vous en vouloir | |
D'avoir besoin d'un sémaphore pour les voir |
zuo qu : Solo | |
Les habitants du feu rouge n' ont plus qu' une main qui bouge | |
Pendant que l' autre s' agrippe encore | |
Dans l' espoir de ne pas faire partie du de cor | |
Ils n' ont pas la haine, ils n' ont plus rien | |
Que ce reflet d' eux m mes qui s' estompe dans les glaces qui g ne es se remontent | |
Ils ont la m me couleur que les murs | |
Seuls leur yeux te moignent encore d' une aventure | |
D' un razdemare e qui les a jete s la | |
Marins des trottoirs sans ports ni belles histoires | |
Les seuls embruns sur leur visage | |
Sont ceux du de dain sur leur passage | |
Les habitants du feu rouge bougent quand tout le monde s' arr te | |
À contrecourant dans un monde en mouvement | |
Un peu de re pit dans la vitesse du me pris | |
Le vert est leur ennemi | |
Quand il libe re les gens d' une re alite de la vie | |
De ces hommes qui toutes les trois minutes montent sur sce ne | |
En espe rant ne pas refaire un bide | |
Juste histoire de remplir le leur | |
Ce n' est pas eux mais leur estomac | |
Qui est tordu ronge par le trac | |
Ils sont pr ts a tout m me ne pas vous en vouloir | |
D' avoir besoin d' un se maphore pour les voir |
zuò qǔ : Solo | |
Les habitants du feu rouge n' ont plus qu' une main qui bouge | |
Pendant que l' autre s' agrippe encore | |
Dans l' espoir de ne pas faire partie du dé cor | |
Ils n' ont pas la haine, ils n' ont plus rien | |
Que ce reflet d' eux m mes qui s' estompe dans les glaces qui g né es se remontent | |
Ils ont la m me couleur que les murs | |
Seuls leur yeux té moignent encore d' une aventure | |
D' un razdemaré e qui les a jeté s là | |
Marins des trottoirs sans ports ni belles histoires | |
Les seuls embruns sur leur visage | |
Sont ceux du dé dain sur leur passage | |
Les habitants du feu rouge bougent quand tout le monde s' arr te | |
À contrecourant dans un monde en mouvement | |
Un peu de ré pit dans la vitesse du mé pris | |
Le vert est leur ennemi | |
Quand il libè re les gens d' une ré alité de la vie | |
De ces hommes qui toutes les trois minutes montent sur scè ne | |
En espé rant ne pas refaire un bide | |
Juste histoire de remplir le leur | |
Ce n' est pas eux mais leur estomac | |
Qui est tordu rongé par le trac | |
Ils sont pr ts à tout m me ne pas vous en vouloir | |
D' avoir besoin d' un sé maphore pour les voir |