歌曲 | Lettre Au Ministre Du Saccage Des Familles |
歌手 | Cali |
专辑 | La Vie Est Une Truite Arc-En-Ciel Qui Nage Dans Mon Coeur |
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Monsieur, | |
Je ne veux plus traquer | |
Les ombres apeurées dans la nuit | |
Monsieur, je ne veux plus être celui | |
Qui arrache, qui arrache la vie | |
Mon métier, Monsieur, c'est policier | |
Je ne veux plus saccager des familles terrorisées | |
Mon métier, mon métier, c'est policier | |
Je ne veux plus chasser des femmes et des enfants effrayés | |
Je n'irai pas au petit matin | |
Rafler ces hommes, ces femmes, ces enfants du chagrin | |
Les arracher à leur lit de misère, menottés | |
Les jeter dans l'avion des ténèbres vers la mort qui attend de l'autre côté | |
Mon métier, Monsieur, c'est policier | |
Je ne veux plus être la terreur de familles dévastées | |
Mon métier, mon métier, c'est policier | |
Je ne veux plus chasser des femmes, des enfants apeurés | |
Je ne veux plus affronter leur regard perdu | |
Non, non, non, qui dépèce mon âme, non | |
Je ne l'ai jamais voulu | |
Messieurs les pillards de l'espoir qui nous avez aveuglés | |
Vous avez serrés sur nos yeux le bandeau du mensonge | |
Vous avez répandu partout le parfum dégueulasse du mépris de l'étranger | |
C'est fini, je ne serai plus de votre cruauté | |
Même si mes paupières sont remplis de larmes | |
J'y vois encore plus clair ce soir, je pourrai embrasser | |
Ma femmes, mes enfants et leur dire je dépose les armes | |
Je ne serai plus un chien dressé, déshumanisé | |
Mon métier, Monsieur, c'est policier | |
Je ne veux plus traquer des familles terrorisées | |
Mon métier, mon métier, c'est policier | |
Je ne veux plus débusquer des femmes et des enfants effrayés | |
Je ne veux plus affronter leur regard perdu | |
Non, non, non, qui dépèce mon âme, non | |
Je ne l'ai jamais voulu | |
Je ne défoncerai plus la porte | |
D'innocents plus malheureux que le malheur | |
Je ne serai plus le poignard de leur vie poignardée | |
Je serai de leurs cris de joie quand ils auront ce droit de ne plus avoir peur | |
De vivre et de s'aimer sous la lumière à nos côtés... | |
Mon métier, Monsieur, c'est policier | |
Je ne serais plus la terreur d'autres êtres humains apeurés | |
Mon métier, mon métier, c'est policier | |
Nous sommes tous des enfants d'immigrés | |
Je ne veux plus affronter mon regard perdu, non, non, non | |
Le soir face au miroir, non | |
Je ne le peux plus... |
Monsieur, | |
Je ne veux plus traquer | |
Les ombres apeure es dans la nuit | |
Monsieur, je ne veux plus tre celui | |
Qui arrache, qui arrache la vie | |
Mon me tier, Monsieur, c' est policier | |
Je ne veux plus saccager des familles terrorise es | |
Mon me tier, mon me tier, c' est policier | |
Je ne veux plus chasser des femmes et des enfants effraye s | |
Je n' irai pas au petit matin | |
Rafler ces hommes, ces femmes, ces enfants du chagrin | |
Les arracher a leur lit de mise re, menotte s | |
Les jeter dans l' avion des te ne bres vers la mort qui attend de l' autre c te | |
Mon me tier, Monsieur, c' est policier | |
Je ne veux plus tre la terreur de familles de vaste es | |
Mon me tier, mon me tier, c' est policier | |
Je ne veux plus chasser des femmes, des enfants apeure s | |
Je ne veux plus affronter leur regard perdu | |
Non, non, non, qui de pe ce mon me, non | |
Je ne l' ai jamais voulu | |
Messieurs les pillards de l' espoir qui nous avez aveugle s | |
Vous avez serre s sur nos yeux le bandeau du mensonge | |
Vous avez re pandu partout le parfum de gueulasse du me pris de l'e tranger | |
C' est fini, je ne serai plus de votre cruaute | |
M me si mes paupie res sont remplis de larmes | |
J' y vois encore plus clair ce soir, je pourrai embrasser | |
Ma femmes, mes enfants et leur dire je de pose les armes | |
Je ne serai plus un chien dresse, de shumanise | |
Mon me tier, Monsieur, c' est policier | |
Je ne veux plus traquer des familles terrorise es | |
Mon me tier, mon me tier, c' est policier | |
Je ne veux plus de busquer des femmes et des enfants effraye s | |
Je ne veux plus affronter leur regard perdu | |
Non, non, non, qui de pe ce mon me, non | |
Je ne l' ai jamais voulu | |
Je ne de foncerai plus la porte | |
D' innocents plus malheureux que le malheur | |
Je ne serai plus le poignard de leur vie poignarde e | |
Je serai de leurs cris de joie quand ils auront ce droit de ne plus avoir peur | |
De vivre et de s' aimer sous la lumie re a nos c te s... | |
Mon me tier, Monsieur, c' est policier | |
Je ne serais plus la terreur d' autres tres humains apeure s | |
Mon me tier, mon me tier, c' est policier | |
Nous sommes tous des enfants d' immigre s | |
Je ne veux plus affronter mon regard perdu, non, non, non | |
Le soir face au miroir, non | |
Je ne le peux plus... |
Monsieur, | |
Je ne veux plus traquer | |
Les ombres apeuré es dans la nuit | |
Monsieur, je ne veux plus tre celui | |
Qui arrache, qui arrache la vie | |
Mon mé tier, Monsieur, c' est policier | |
Je ne veux plus saccager des familles terrorisé es | |
Mon mé tier, mon mé tier, c' est policier | |
Je ne veux plus chasser des femmes et des enfants effrayé s | |
Je n' irai pas au petit matin | |
Rafler ces hommes, ces femmes, ces enfants du chagrin | |
Les arracher à leur lit de misè re, menotté s | |
Les jeter dans l' avion des té nè bres vers la mort qui attend de l' autre c té | |
Mon mé tier, Monsieur, c' est policier | |
Je ne veux plus tre la terreur de familles dé vasté es | |
Mon mé tier, mon mé tier, c' est policier | |
Je ne veux plus chasser des femmes, des enfants apeuré s | |
Je ne veux plus affronter leur regard perdu | |
Non, non, non, qui dé pè ce mon me, non | |
Je ne l' ai jamais voulu | |
Messieurs les pillards de l' espoir qui nous avez aveuglé s | |
Vous avez serré s sur nos yeux le bandeau du mensonge | |
Vous avez ré pandu partout le parfum dé gueulasse du mé pris de l'é tranger | |
C' est fini, je ne serai plus de votre cruauté | |
M me si mes paupiè res sont remplis de larmes | |
J' y vois encore plus clair ce soir, je pourrai embrasser | |
Ma femmes, mes enfants et leur dire je dé pose les armes | |
Je ne serai plus un chien dressé, dé shumanisé | |
Mon mé tier, Monsieur, c' est policier | |
Je ne veux plus traquer des familles terrorisé es | |
Mon mé tier, mon mé tier, c' est policier | |
Je ne veux plus dé busquer des femmes et des enfants effrayé s | |
Je ne veux plus affronter leur regard perdu | |
Non, non, non, qui dé pè ce mon me, non | |
Je ne l' ai jamais voulu | |
Je ne dé foncerai plus la porte | |
D' innocents plus malheureux que le malheur | |
Je ne serai plus le poignard de leur vie poignardé e | |
Je serai de leurs cris de joie quand ils auront ce droit de ne plus avoir peur | |
De vivre et de s' aimer sous la lumiè re à nos c té s... | |
Mon mé tier, Monsieur, c' est policier | |
Je ne serais plus la terreur d' autres tres humains apeuré s | |
Mon mé tier, mon mé tier, c' est policier | |
Nous sommes tous des enfants d' immigré s | |
Je ne veux plus affronter mon regard perdu, non, non, non | |
Le soir face au miroir, non | |
Je ne le peux plus... |