J'lève Mon Verre

歌曲 J'lève Mon Verre
歌手 Shurik'n
专辑 Où Je Vis

歌词

Serval diseur d'images fils
J'lève mon verre à ceux qui croient plus en rien
A ceux qui chaque matin s'étirent dans le brouillard
Et piquent du nez dans un café noir
A ces homme rouge rubi
A ces derniers levers de Soleil qui n'ont pas de prix
Et c'parvis napé de groseilles
A ces femmes qui au réveil ne sentent rien sous leurs mains
Ces mômes armés de fusils en treillis qui ne pensent pas à demain
J'lève mon verre à ceux qui dorment sous des tôles par-ci par-là
Et à tous ces morts de luxe qui pourrissent dans des villas
J'lève mon verre à la naissance d'un gosse qui remplit une fosse
A ces crosses qui servent souvent de hochets
Ceux qui endossent la connerie de l'autre et se vautrent sans rechigner
Comme un pigeon résigné pleurant qu'il n'a pas fait exprès
A ces pères qui se crèvent le cul pour que leur fils deale du shit
Et ceux qui ne voient pas leur francs violer les vierges veines de leur fille
A toutes ces ville fantômes tachées de corbeaux
Oeuvre d'un crétin hors norme
Allez, j'lève mon verre à l'homme (x8)
J'lève mon verre à ceux qui oscillent sous cagnard blindé
Ceux qui croupissent à l'ombre coincés derrière une porte blindée
A ceux qui savent mais la ferme, ces vérités sans oxigène
Ces libertés bardées de chaînes et ce vent de folie qui se déchaîne
Ces pochtrons au comptoir, le regard, comme leurs jours, terne
Ces sourires en costume qui tuent pour remplir une citerne
Ceux qui ne voient pas la mort autrement qu'au combat
A celui qui croit qu'il s'en sortira, la chance sourit à ceux-là
A tous mes potes présents et à ceux déjà partis
A tous ceux qui n'ont pas voulu jouer par peur de perdre la partie
A ces sacrés souvenirs qu'on garde enfouis au fond de sa tête
Qu'on calme à coup de fummette chaque fois que le relent guette
Ces coeurs touchés, ces corps couchés, ces âmes fauchés
Comme un blé trop vert, maudit soit les moissons de la colère
Mon verre j'le lève aux rumeurs ennivrantes
Qui enroutent l'esprit d'un crétin hors norme
Allez j'lève mon verre à l'homme
A tous ces gouvernements pourris, à tous leurs suicidés
A tous ceux qui sourient bêtement, à toi qui jète les dés
Même si des fois certains s'écrient "ça y est, c'est décidé, cette fois je le fais"
J'lève mon verre à ceux qui n'ont pas le cul béni par les fées
A ceux qui se le bronze au soleil, qui font leur pays des merveilles
Et ceux dont le ciel est remplit d'un désir puissant de faire pareil
A toutes ces mères qui ne savent que trop bien, pour avoir veillé la veille
Que sur notre bonne vieille Terre rien n'est plus cher que l'oseille
A toutes ces balafres au sucre qu'une note salée laisse râler
La mère absence qui exulte n'est qu'une moitié sans rage
J'lève mon verre à ces poches trouées par les doigts
Et celles trouées par le poids des sous, ceux qui ont toujours eu le choix
A toutes ces pensées rances qui n'enfantent que dans la souffrance
A ces immenses crétins qui nous appellent la sous-France
A ceux qui relativisent bien, à ceux qui m'en veulent ouais
Que ceux-là réfléchissent et disent bien
J'lève mon verre à ces troncs tendres, en leurs écorces de pierre et
A ceux qui en prennent plein les dents et malgré tout les serrent
A ces sacs Vuiton pleins, à ces cartons par-terre
A ceux qui partent pour dejame, qui reviennent avec du verre
A ceux qui se croient au paradis et qui ont les poils qui crament abusés
Ce nectar de la vie que la mort c'est quidam vient m'en user
A ce bon vieux bitume d'où nait le flash qui nourrit ma plume et vos yeux
J'lève mon verre à l'homme
Au manque de neurones fils
Et faut pas que ça t'étonne

拼音

Serval diseur d' images fils
J' lè ve mon verre à ceux qui croient plus en rien
A ceux qui chaque matin s'é tirent dans le brouillard
Et piquent du nez dans un café noir
A ces homme rouge rubi
A ces derniers levers de Soleil qui n' ont pas de prix
Et c' parvis napé de groseilles
A ces femmes qui au ré veil ne sentent rien sous leurs mains
Ces m mes armé s de fusils en treillis qui ne pensent pas à demain
J' lè ve mon verre à ceux qui dorment sous des t les parci parlà
Et à tous ces morts de luxe qui pourrissent dans des villas
J' lè ve mon verre à la naissance d' un gosse qui remplit une fosse
A ces crosses qui servent souvent de hochets
Ceux qui endossent la connerie de l' autre et se vautrent sans rechigner
Comme un pigeon ré signé pleurant qu' il n' a pas fait exprè s
A ces pè res qui se crè vent le cul pour que leur fils deale du shit
Et ceux qui ne voient pas leur francs violer les vierges veines de leur fille
A toutes ces ville fant mes taché es de corbeaux
Oeuvre d' un cré tin hors norme
Allez, j' lè ve mon verre à l' homme x8
J' lè ve mon verre à ceux qui oscillent sous cagnard blindé
Ceux qui croupissent à l' ombre coincé s derriè re une porte blindé e
A ceux qui savent mais la ferme, ces vé rité s sans oxigè ne
Ces liberté s bardé es de cha nes et ce vent de folie qui se dé cha ne
Ces pochtrons au comptoir, le regard, comme leurs jours, terne
Ces sourires en costume qui tuent pour remplir une citerne
Ceux qui ne voient pas la mort autrement qu' au combat
A celui qui croit qu' il s' en sortira, la chance sourit à ceuxlà
A tous mes potes pré sents et à ceux dé jà partis
A tous ceux qui n' ont pas voulu jouer par peur de perdre la partie
A ces sacré s souvenirs qu' on garde enfouis au fond de sa t te
Qu' on calme à coup de fummette chaque fois que le relent guette
Ces coeurs touché s, ces corps couché s, ces mes fauché s
Comme un blé trop vert, maudit soit les moissons de la colè re
Mon verre j' le lè ve aux rumeurs ennivrantes
Qui enroutent l' esprit d' un cré tin hors norme
Allez j' lè ve mon verre à l' homme
A tous ces gouvernements pourris, à tous leurs suicidé s
A tous ceux qui sourient b tement, à toi qui jè te les dé s
M me si des fois certains s'é crient " a y est, c' est dé cidé, cette fois je le fais"
J' lè ve mon verre à ceux qui n' ont pas le cul bé ni par les fé es
A ceux qui se le bronze au soleil, qui font leur pays des merveilles
Et ceux dont le ciel est remplit d' un dé sir puissant de faire pareil
A toutes ces mè res qui ne savent que trop bien, pour avoir veillé la veille
Que sur notre bonne vieille Terre rien n' est plus cher que l' oseille
A toutes ces balafres au sucre qu' une note salé e laisse r ler
La mè re absence qui exulte n' est qu' une moitié sans rage
J' lè ve mon verre à ces poches troué es par les doigts
Et celles troué es par le poids des sous, ceux qui ont toujours eu le choix
A toutes ces pensé es rances qui n' enfantent que dans la souffrance
A ces immenses cré tins qui nous appellent la sousFrance
A ceux qui relativisent bien, à ceux qui m' en veulent ouais
Que ceuxlà ré flé chissent et disent bien
J' lè ve mon verre à ces troncs tendres, en leurs é corces de pierre et
A ceux qui en prennent plein les dents et malgré tout les serrent
A ces sacs Vuiton pleins, à ces cartons parterre
A ceux qui partent pour dejame, qui reviennent avec du verre
A ceux qui se croient au paradis et qui ont les poils qui crament abusé s
Ce nectar de la vie que la mort c' est quidam vient m' en user
A ce bon vieux bitume d' où nait le flash qui nourrit ma plume et vos yeux
J' lè ve mon verre à l' homme
Au manque de neurones fils
Et faut pas que a t'é tonne