歌曲 | Le Dernier Empereur |
歌手 | IAM |
专辑 | Ombre Est Lumiere |
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Descendant direct de la race d'ébène | |
Apprenant la science du sage suprême | |
Toujours en harmonie avec les lois cosmiques | |
Parfois prédicateur des préceptes cégialiques | |
Les présentations faites passons à autre chose | |
Entrons dans le vif du sujet par le biais d'une prose | |
La strophe ouvre une porte sur l'image IAM | |
Nous permettant ainsi d'arpenter les jardins du spirituel | |
Sous la toute et puissante , toute céleste, vivent et meurent | |
Des milliards de prétentieux êtres | |
Qui s'ennorgueillissent d'avoir tant de qualités | |
Un chien, une maison, une voiture et une télé | |
Tous les matins s'admirant devant la glace | |
Ils se disent | |
Dame j'assure tout le monde voudrait ma place | |
Ils s'acharnent , s'efforcent et s'emploient à s'approprier | |
Plus qu'ils ne leur en faut ainsi ils sont admirés | |
Par leur entourage | |
Qui flatte leur plumage | |
Espèrent par là , leurs soutirer quelques bouts de fromage | |
En états de narcose ils en oublient | |
De leurrer leur mental et de contempler les galaxies | |
Car le dragon sommeille en l'esprit qui est sa demeure | |
On doit le nourrir sinon très vite il se meurt | |
Mais bien souvent on s'en moque préférant l'argent du beurre | |
Et c'est la fin du dernier Empereur | |
Méfie toi de l'Empereur | |
Le temple de mon esprit jamais ne vacille | |
Déposant mes rêves sur la voie lactée | |
Les 3 piliers de ma philosophie , dans le ciel brille | |
Essayant d'éclairer la conscience de l'humanité | |
Car le roseau plie parfois | |
Mais ne se brise pas | |
Un tigre qui a flairé sa proie | |
Rien ne l'arrêtera | |
C'est pour cela qu'il est temps de s'éveiller | |
De réaliser que le chemin sur lequel nous nous sommes engagés | |
Ne pourrait en aucun cas ranimer la flamme | |
De nos sentiments , nos émotions enfouies sous le poids de notre âme | |
Qui s'alourdit de jour en jour et d'heure en d'heure | |
Àtel point que que certains ont déjà perdu de leur chaleur | |
Elle diminue à chaque instant , à notre insu | |
Comment pouvons-nous de surcroît être convaincu | |
D'une pureté qui pourtant n'est pas méritée | |
C'est s'enfoncer dans la nuit que de se vanter de la côtoyer | |
Et nous entrons dans un domaine où nous n'ignorons rien | |
Dans ce chemin où l'on aime à faire des va-et-vient | |
Exhibitions des acquisitions matériels | |
Expositions d'objets et de biens personnels | |
Regardez moi, moi j'ai ci, moi j'ai ça, j'ai fait ci et ça | |
Mais cherche donc à l'intérieur de toi | |
Tu ni trouveras qu'un vide intersidéral | |
Qu' un astre à l'agonie illuminera de sa lumière pâle | |
Tu n'y peux rien changer il est déjà trop tard | |
Ce qui fait ton bonheur te pousse en même temps dans le noir | |
C'est le paroxysme du paradoxe dans toute son ampleur | |
Ainsi s'éteint le dernier Empereur | |
Méfie toi de l'Empereur | |
De Mars l'un expose sa pensée | |
Que les nuages jamais ne pourront chevaucher | |
Trop conscient de ce que cela pourrait entraîner | |
Un dur retour à la réalité | |
De tout le jour de méditer je ne me lassais pas | |
Où avons-nous fauté qu'avons- nous fait pour en arriver là | |
Je compris que pour qu'une pierre roule sur un terrain plat | |
Il faut une poussée suffisante pour projeter son poids | |
Cette prise de conscience fut un tournant dans ma vie | |
Ce fut la naissance des fondations de mon état d'esprit | |
Entre lesquelles se dresse ma destiné | |
Qui brisera les assauts de la fatalité | |
Car nous sommes entraînés et dressés à vouloir posséder | |
Plus d'argent, de meubles ce sont les diplômes exigés | |
Pour acquérir un minimum de pouvoir | |
Au dépend de pauvre gens qui eux ne vivent que d'espoir | |
J'appelle cela du vandalisme mental | |
Amoindrir l'esprit de l'homme au détriment de l'esprit animal | |
Logiquement le spirituel passe au dernier plan | |
Anihilant la rectitude du coeur irréversiblement | |
L'être humain n'est plus alors qu'un fantôme | |
Car l'homme a perdu tout ce qui faisait de lui un homme | |
Vint alors le règne de la cupidité | |
C'est maintenant dans les banques que l'on va prier | |
Certain s'achète à crédit une 520 | |
Pourtant leurs enfants de mangent toujours pas à leur faim | |
Mais je ne peux changer la platane en une rose | |
J'extériorise simplement mon sentiment à travers ma prose | |
Que vous m'ayez écouté est un honneur | |
Sincèrement votre un serviteur | |
Du dernier Empereur | |
Gardez un oeil sur l'Empereur , à l'avenir | |
Le dernier Empereur |
Descendant direct de la race d'e be ne | |
Apprenant la science du sage supr me | |
Toujours en harmonie avec les lois cosmiques | |
Parfois pre dicateur des pre ceptes ce gialiques | |
Les pre sentations faites passons a autre chose | |
Entrons dans le vif du sujet par le biais d' une prose | |
La strophe ouvre une porte sur l' image IAM | |
Nous permettant ainsi d' arpenter les jardins du spirituel | |
Sous la toute et puissante , toute ce leste, vivent et meurent | |
Des milliards de pre tentieux tres | |
Qui s' ennorgueillissent d' avoir tant de qualite s | |
Un chien, une maison, une voiture et une te le | |
Tous les matins s' admirant devant la glace | |
Ils se disent | |
Dame j' assure tout le monde voudrait ma place | |
Ils s' acharnent , s' efforcent et s' emploient a s' approprier | |
Plus qu' ils ne leur en faut ainsi ils sont admire s | |
Par leur entourage | |
Qui flatte leur plumage | |
Espe rent par la , leurs soutirer quelques bouts de fromage | |
En e tats de narcose ils en oublient | |
De leurrer leur mental et de contempler les galaxies | |
Car le dragon sommeille en l' esprit qui est sa demeure | |
On doit le nourrir sinon tre s vite il se meurt | |
Mais bien souvent on s' en moque pre fe rant l' argent du beurre | |
Et c' est la fin du dernier Empereur | |
Me fie toi de l' Empereur | |
Le temple de mon esprit jamais ne vacille | |
De posant mes r ves sur la voie lacte e | |
Les 3 piliers de ma philosophie , dans le ciel brille | |
Essayant d'e clairer la conscience de l' humanite | |
Car le roseau plie parfois | |
Mais ne se brise pas | |
Un tigre qui a flaire sa proie | |
Rien ne l' arr tera | |
C' est pour cela qu' il est temps de s'e veiller | |
De re aliser que le chemin sur lequel nous nous sommes engage s | |
Ne pourrait en aucun cas ranimer la flamme | |
De nos sentiments , nos e motions enfouies sous le poids de notre me | |
Qui s' alourdit de jour en jour et d' heure en d' heure | |
À tel point que que certains ont de ja perdu de leur chaleur | |
Elle diminue a chaque instant , a notre insu | |
Comment pouvonsnous de surcro t tre convaincu | |
D' une purete qui pourtant n' est pas me rite e | |
C' est s' enfoncer dans la nuit que de se vanter de la c toyer | |
Et nous entrons dans un domaine ou nous n' ignorons rien | |
Dans ce chemin ou l' on aime a faire des vaetvient | |
Exhibitions des acquisitions mate riels | |
Expositions d' objets et de biens personnels | |
Regardez moi, moi j' ai ci, moi j' ai a, j' ai fait ci et a | |
Mais cherche donc a l' inte rieur de toi | |
Tu ni trouveras qu' un vide interside ral | |
Qu' un astre a l' agonie illuminera de sa lumie re p le | |
Tu n' y peux rien changer il est de ja trop tard | |
Ce qui fait ton bonheur te pousse en m me temps dans le noir | |
C' est le paroxysme du paradoxe dans toute son ampleur | |
Ainsi s'e teint le dernier Empereur | |
Me fie toi de l' Empereur | |
De Mars l' un expose sa pense e | |
Que les nuages jamais ne pourront chevaucher | |
Trop conscient de ce que cela pourrait entra ner | |
Un dur retour a la re alite | |
De tout le jour de me diter je ne me lassais pas | |
Ou avonsnous faute qu' avons nous fait pour en arriver la | |
Je compris que pour qu' une pierre roule sur un terrain plat | |
Il faut une pousse e suffisante pour projeter son poids | |
Cette prise de conscience fut un tournant dans ma vie | |
Ce fut la naissance des fondations de mon e tat d' esprit | |
Entre lesquelles se dresse ma destine | |
Qui brisera les assauts de la fatalite | |
Car nous sommes entra ne s et dresse s a vouloir posse der | |
Plus d' argent, de meubles ce sont les dipl mes exige s | |
Pour acque rir un minimum de pouvoir | |
Au de pend de pauvre gens qui eux ne vivent que d' espoir | |
J' appelle cela du vandalisme mental | |
Amoindrir l' esprit de l' homme au de triment de l' esprit animal | |
Logiquement le spirituel passe au dernier plan | |
Anihilant la rectitude du coeur irre versiblement | |
L' tre humain n' est plus alors qu' un fant me | |
Car l' homme a perdu tout ce qui faisait de lui un homme | |
Vint alors le re gne de la cupidite | |
C' est maintenant dans les banques que l' on va prier | |
Certain s' ache te a cre dit une 520 | |
Pourtant leurs enfants de mangent toujours pas a leur faim | |
Mais je ne peux changer la platane en une rose | |
J' exte riorise simplement mon sentiment a travers ma prose | |
Que vous m' ayez e coute est un honneur | |
Since rement votre un serviteur | |
Du dernier Empereur | |
Gardez un oeil sur l' Empereur , a l' avenir | |
Le dernier Empereur |
Descendant direct de la race d'é bè ne | |
Apprenant la science du sage supr me | |
Toujours en harmonie avec les lois cosmiques | |
Parfois pré dicateur des pré ceptes cé gialiques | |
Les pré sentations faites passons à autre chose | |
Entrons dans le vif du sujet par le biais d' une prose | |
La strophe ouvre une porte sur l' image IAM | |
Nous permettant ainsi d' arpenter les jardins du spirituel | |
Sous la toute et puissante , toute cé leste, vivent et meurent | |
Des milliards de pré tentieux tres | |
Qui s' ennorgueillissent d' avoir tant de qualité s | |
Un chien, une maison, une voiture et une té lé | |
Tous les matins s' admirant devant la glace | |
Ils se disent | |
Dame j' assure tout le monde voudrait ma place | |
Ils s' acharnent , s' efforcent et s' emploient à s' approprier | |
Plus qu' ils ne leur en faut ainsi ils sont admiré s | |
Par leur entourage | |
Qui flatte leur plumage | |
Espè rent par là , leurs soutirer quelques bouts de fromage | |
En é tats de narcose ils en oublient | |
De leurrer leur mental et de contempler les galaxies | |
Car le dragon sommeille en l' esprit qui est sa demeure | |
On doit le nourrir sinon trè s vite il se meurt | |
Mais bien souvent on s' en moque pré fé rant l' argent du beurre | |
Et c' est la fin du dernier Empereur | |
Mé fie toi de l' Empereur | |
Le temple de mon esprit jamais ne vacille | |
Dé posant mes r ves sur la voie lacté e | |
Les 3 piliers de ma philosophie , dans le ciel brille | |
Essayant d'é clairer la conscience de l' humanité | |
Car le roseau plie parfois | |
Mais ne se brise pas | |
Un tigre qui a flairé sa proie | |
Rien ne l' arr tera | |
C' est pour cela qu' il est temps de s'é veiller | |
De ré aliser que le chemin sur lequel nous nous sommes engagé s | |
Ne pourrait en aucun cas ranimer la flamme | |
De nos sentiments , nos é motions enfouies sous le poids de notre me | |
Qui s' alourdit de jour en jour et d' heure en d' heure | |
À tel point que que certains ont dé jà perdu de leur chaleur | |
Elle diminue à chaque instant , à notre insu | |
Comment pouvonsnous de surcro t tre convaincu | |
D' une pureté qui pourtant n' est pas mé rité e | |
C' est s' enfoncer dans la nuit que de se vanter de la c toyer | |
Et nous entrons dans un domaine où nous n' ignorons rien | |
Dans ce chemin où l' on aime à faire des vaetvient | |
Exhibitions des acquisitions maté riels | |
Expositions d' objets et de biens personnels | |
Regardez moi, moi j' ai ci, moi j' ai a, j' ai fait ci et a | |
Mais cherche donc à l' inté rieur de toi | |
Tu ni trouveras qu' un vide intersidé ral | |
Qu' un astre à l' agonie illuminera de sa lumiè re p le | |
Tu n' y peux rien changer il est dé jà trop tard | |
Ce qui fait ton bonheur te pousse en m me temps dans le noir | |
C' est le paroxysme du paradoxe dans toute son ampleur | |
Ainsi s'é teint le dernier Empereur | |
Mé fie toi de l' Empereur | |
De Mars l' un expose sa pensé e | |
Que les nuages jamais ne pourront chevaucher | |
Trop conscient de ce que cela pourrait entra ner | |
Un dur retour à la ré alité | |
De tout le jour de mé diter je ne me lassais pas | |
Où avonsnous fauté qu' avons nous fait pour en arriver là | |
Je compris que pour qu' une pierre roule sur un terrain plat | |
Il faut une poussé e suffisante pour projeter son poids | |
Cette prise de conscience fut un tournant dans ma vie | |
Ce fut la naissance des fondations de mon é tat d' esprit | |
Entre lesquelles se dresse ma destiné | |
Qui brisera les assauts de la fatalité | |
Car nous sommes entra né s et dressé s à vouloir possé der | |
Plus d' argent, de meubles ce sont les dipl mes exigé s | |
Pour acqué rir un minimum de pouvoir | |
Au dé pend de pauvre gens qui eux ne vivent que d' espoir | |
J' appelle cela du vandalisme mental | |
Amoindrir l' esprit de l' homme au dé triment de l' esprit animal | |
Logiquement le spirituel passe au dernier plan | |
Anihilant la rectitude du coeur irré versiblement | |
L' tre humain n' est plus alors qu' un fant me | |
Car l' homme a perdu tout ce qui faisait de lui un homme | |
Vint alors le rè gne de la cupidité | |
C' est maintenant dans les banques que l' on va prier | |
Certain s' achè te à cré dit une 520 | |
Pourtant leurs enfants de mangent toujours pas à leur faim | |
Mais je ne peux changer la platane en une rose | |
J' exté riorise simplement mon sentiment à travers ma prose | |
Que vous m' ayez é couté est un honneur | |
Sincè rement votre un serviteur | |
Du dernier Empereur | |
Gardez un oeil sur l' Empereur , à l' avenir | |
Le dernier Empereur |