作曲 : Aubert, Téléphone | |
Elle vint chez moi en plein hiver. | |
Elle n'avait pas froid, n'en avait pas l'air. | |
Je l'accueillis à bras ouverts. | |
Je ne savais pas qu'elle entrait jusque-là. | |
Fleur de ma ville, du sang sur tes épines. | |
Tu prends ce que j'ai. Tu n'me dis pas ou je vais. | |
Fleur de ma ville, du sang sur tes épines. | |
Tu prends ce que j'aime et puis chez toi tu m'emmènes. | |
Non, pas de veine pour celui qui l'aime, | |
Le dernier train, toujours le même, | |
Pour ce pays en noir et blanc | |
Où on n'se fait plus de mauvais sang. | |
Fleur de ma ville, du sang sur tes épines. | |
Tu prends ce que j'ai. Tu n'me dis pas ou je vais. | |
Tu prends ce que j'aime et puis chez toi tu m'emmènes. | |
Tu prends ce que j'aime et puis chez toi tu m'emmènes. |
zuo qu : Aubert, Te le phone | |
Elle vint chez moi en plein hiver. | |
Elle n' avait pas froid, n' en avait pas l' air. | |
Je l' accueillis a bras ouverts. | |
Je ne savais pas qu' elle entrait jusquela. | |
Fleur de ma ville, du sang sur tes e pines. | |
Tu prends ce que j' ai. Tu n' me dis pas ou je vais. | |
Fleur de ma ville, du sang sur tes e pines. | |
Tu prends ce que j' aime et puis chez toi tu m' emme nes. | |
Non, pas de veine pour celui qui l' aime, | |
Le dernier train, toujours le m me, | |
Pour ce pays en noir et blanc | |
Ou on n' se fait plus de mauvais sang. | |
Fleur de ma ville, du sang sur tes e pines. | |
Tu prends ce que j' ai. Tu n' me dis pas ou je vais. | |
Tu prends ce que j' aime et puis chez toi tu m' emme nes. | |
Tu prends ce que j' aime et puis chez toi tu m' emme nes. |
zuò qǔ : Aubert, Té lé phone | |
Elle vint chez moi en plein hiver. | |
Elle n' avait pas froid, n' en avait pas l' air. | |
Je l' accueillis à bras ouverts. | |
Je ne savais pas qu' elle entrait jusquelà. | |
Fleur de ma ville, du sang sur tes é pines. | |
Tu prends ce que j' ai. Tu n' me dis pas ou je vais. | |
Fleur de ma ville, du sang sur tes é pines. | |
Tu prends ce que j' aime et puis chez toi tu m' emmè nes. | |
Non, pas de veine pour celui qui l' aime, | |
Le dernier train, toujours le m me, | |
Pour ce pays en noir et blanc | |
Où on n' se fait plus de mauvais sang. | |
Fleur de ma ville, du sang sur tes é pines. | |
Tu prends ce que j' ai. Tu n' me dis pas ou je vais. | |
Tu prends ce que j' aime et puis chez toi tu m' emmè nes. | |
Tu prends ce que j' aime et puis chez toi tu m' emmè nes. |