Dans la chambre sans bruit | |
Le nuit nous faisons route. | |
Amoureux solitaires | |
Sans regarder derrière. | |
Nous fuyons tous les deux, | |
Tu me fis qu'on est fou ; | |
Alliés, là dans l'ombre | |
Tu éclaires | |
Dans les draps de satin soir | |
Etaient nos nuis blaches. | |
Toi, tu m'ouvrais la voie, | |
Moi, je cambrais les hanches. | |
Au brûlant de la peau, | |
Au puissant des parfums | |
De la sueur et de l'autre | |
Comme deux sans abris | |
Au milieu de l'orage | |
Sous les coups, sous la pluie | |
Nous joingnons nos visages | |
Au-delà des réels | |
Mon amour avec toi, | |
Allez viens on s'arrache, | |
Allez viens on se crache ! | |
Évadés, clandestins, allez viens… | |
Allez, envoie le corps, au défi de l'hardcore | |
Allez envoie tes rêves aller envoie tes lunes | |
Allez crame mon âme qui nous brûle passion que nous | |
Mène l'union aux hallucinations, | |
Que la peur dans tes yeux fasse monter l'acide jusqu'au bord | |
De tes lèvres aussi noires que la nuit qui nous emmène | |
Au large sur des terres sacrées où l'on aime à saigner, | |
Où l'on aime à s'aimer. | |
Que l'on meure maintenant dans ce lit, fugitifs, | |
Accrochés à nous-mêmes, perdus dans le récif ; | |
Que s'arrête le temps ! Que continue l'instant ! | |
Et que s'ouvre l'abysse devant toi mon amour | |
Aller délivre moi du plaisir qui nous ronge | |
Allez libère toi au violent de nos songes | |
Allez, transe avec moi sans jamais t'arrêter, | |
tout nue sous l'orage, je veux te voir pleurer | |
Hors de moi ! | |
S'évader, clandestins, dérapés |
Dans la chambre sans bruit | |
Le nuit nous faisons route. | |
Amoureux solitaires | |
Sans regarder derrie re. | |
Nous fuyons tous les deux, | |
Tu me fis qu' on est fou nbsp | |
Allie s, la dans l' ombre | |
Tu e claires | |
Dans les draps de satin soir | |
Etaient nos nuis blaches. | |
Toi, tu m' ouvrais la voie, | |
Moi, je cambrais les hanches. | |
Au br lant de la peau, | |
Au puissant des parfums | |
De la sueur et de l' autre | |
Comme deux sans abris | |
Au milieu de l' orage | |
Sous les coups, sous la pluie | |
Nous joingnons nos visages | |
Audela des re els | |
Mon amour avec toi, | |
Allez viens on s' arrache, | |
Allez viens on se crache nbsp! | |
É vade s, clandestins, allez viens | |
Allez, envoie le corps, au de fi de l' hardcore | |
Allez envoie tes r ves aller envoie tes lunes | |
Allez crame mon me qui nous br le passion que nous | |
Me ne l' union aux hallucinations, | |
Que la peur dans tes yeux fasse monter l' acide jusqu' au bord | |
De tes le vres aussi noires que la nuit qui nous emme ne | |
Au large sur des terres sacre es ou l' on aime a saigner, | |
Ou l' on aime a s' aimer. | |
Que l' on meure maintenant dans ce lit, fugitifs, | |
Accroche s a nousm mes, perdus dans le re cif nbsp | |
Que s' arr te le temps nbsp! Que continue l' instant nbsp! | |
Et que s' ouvre l' abysse devant toi mon amour | |
Aller de livre moi du plaisir qui nous ronge | |
Allez libe re toi au violent de nos songes | |
Allez, transe avec moi sans jamais t' arr ter, | |
tout nue sous l' orage, je veux te voir pleurer | |
Hors de moi nbsp! | |
S'e vader, clandestins, de rape s |
Dans la chambre sans bruit | |
Le nuit nous faisons route. | |
Amoureux solitaires | |
Sans regarder derriè re. | |
Nous fuyons tous les deux, | |
Tu me fis qu' on est fou nbsp | |
Allié s, là dans l' ombre | |
Tu é claires | |
Dans les draps de satin soir | |
Etaient nos nuis blaches. | |
Toi, tu m' ouvrais la voie, | |
Moi, je cambrais les hanches. | |
Au br lant de la peau, | |
Au puissant des parfums | |
De la sueur et de l' autre | |
Comme deux sans abris | |
Au milieu de l' orage | |
Sous les coups, sous la pluie | |
Nous joingnons nos visages | |
Audelà des ré els | |
Mon amour avec toi, | |
Allez viens on s' arrache, | |
Allez viens on se crache nbsp! | |
É vadé s, clandestins, allez viens | |
Allez, envoie le corps, au dé fi de l' hardcore | |
Allez envoie tes r ves aller envoie tes lunes | |
Allez crame mon me qui nous br le passion que nous | |
Mè ne l' union aux hallucinations, | |
Que la peur dans tes yeux fasse monter l' acide jusqu' au bord | |
De tes lè vres aussi noires que la nuit qui nous emmè ne | |
Au large sur des terres sacré es où l' on aime à saigner, | |
Où l' on aime à s' aimer. | |
Que l' on meure maintenant dans ce lit, fugitifs, | |
Accroché s à nousm mes, perdus dans le ré cif nbsp | |
Que s' arr te le temps nbsp! Que continue l' instant nbsp! | |
Et que s' ouvre l' abysse devant toi mon amour | |
Aller dé livre moi du plaisir qui nous ronge | |
Allez libè re toi au violent de nos songes | |
Allez, transe avec moi sans jamais t' arr ter, | |
tout nue sous l' orage, je veux te voir pleurer | |
Hors de moi nbsp! | |
S'é vader, clandestins, dé rapé s |