Des cris effroyables et des sanglots | |
L'histoire est née. | |
Témoin aveugle du reflet de la nature humaine | |
Des bourreaux barbouilleurs de lois | |
Des vers cadavéreux au spirituel asservis, | |
Nul ne restera pour attendrir l'horreur. | |
Du sang à la cendre... | |
Ceux qui restent se verront infliger | |
Leur juste récompense aux yeux, par le temps abimés | |
Du grand Accusateur lors de la rétribution apocalyptique. | |
Buvant les larmes de l'amertume, esclave de l'homme, tu restes. | |
Faire le bien voilà son culte | |
Etre soumis à Dieu est sa doctrine | |
Mourir est son échéancen enchainé à sa nature mortelle | |
Des récits apocryphes et des paroles divines | |
Subsiste le mal | |
De la promesse d'Eden à l'hymne aux défunts | |
La folie reste aveugle à son obsession | |
Dans ce jardin de pierres où la peur sur son visage se lit | |
il exhume ses démons passés dont l'âme était restée muette. | |
Son esprit malsain, fanatique, le conduit à sa propre déchéance | |
Et la folie prépare son règne, tandis que des cadavres recouvrent le sol | |
le vent se fait suffocant et chaque souffle le blesse plus encore. | |
Cadavre humain condamné à l'ignorance dont la vie s'éachève | |
Dans un flot de lave brûlant. | |
La mort n'est pas divertie par les larmes, | |
Et pour l'esprit divin qui anime ton âme, | |
Tu meurs en sa cendre et tu vis en sa flamme | |
Si par la raison les tourments de ton âme sont incurables | |
Témoins d'épisodes sanglants, elle garde un espoir infâme | |
Immolés cruellement sur l'autel de la guerre, | |
Les corps se décomposent dans les entrailles de la terre | |
Ainsi au lever du jour, son corps crucifié resplendira | |
A la lumière de la fin du monde. | |
Du sang à la cendre... |
Des cris effroyables et des sanglots | |
L' histoire est ne e. | |
Te moin aveugle du reflet de la nature humaine | |
Des bourreaux barbouilleurs de lois | |
Des vers cadave reux au spirituel asservis, | |
Nul ne restera pour attendrir l' horreur. | |
Du sang a la cendre... | |
Ceux qui restent se verront infliger | |
Leur juste re compense aux yeux, par le temps abime s | |
Du grand Accusateur lors de la re tribution apocalyptique. | |
Buvant les larmes de l' amertume, esclave de l' homme, tu restes. | |
Faire le bien voila son culte | |
Etre soumis a Dieu est sa doctrine | |
Mourir est son e che ancen enchaine a sa nature mortelle | |
Des re cits apocryphes et des paroles divines | |
Subsiste le mal | |
De la promesse d' Eden a l' hymne aux de funts | |
La folie reste aveugle a son obsession | |
Dans ce jardin de pierres ou la peur sur son visage se lit | |
il exhume ses de mons passe s dont l' me e tait reste e muette. | |
Son esprit malsain, fanatique, le conduit a sa propre de che ance | |
Et la folie pre pare son re gne, tandis que des cadavres recouvrent le sol | |
le vent se fait suffocant et chaque souffle le blesse plus encore. | |
Cadavre humain condamne a l' ignorance dont la vie s'e ache ve | |
Dans un flot de lave br lant. | |
La mort n' est pas divertie par les larmes, | |
Et pour l' esprit divin qui anime ton me, | |
Tu meurs en sa cendre et tu vis en sa flamme | |
Si par la raison les tourments de ton me sont incurables | |
Te moins d'e pisodes sanglants, elle garde un espoir inf me | |
Immole s cruellement sur l' autel de la guerre, | |
Les corps se de composent dans les entrailles de la terre | |
Ainsi au lever du jour, son corps crucifie resplendira | |
A la lumie re de la fin du monde. | |
Du sang a la cendre... |
Des cris effroyables et des sanglots | |
L' histoire est né e. | |
Té moin aveugle du reflet de la nature humaine | |
Des bourreaux barbouilleurs de lois | |
Des vers cadavé reux au spirituel asservis, | |
Nul ne restera pour attendrir l' horreur. | |
Du sang à la cendre... | |
Ceux qui restent se verront infliger | |
Leur juste ré compense aux yeux, par le temps abimé s | |
Du grand Accusateur lors de la ré tribution apocalyptique. | |
Buvant les larmes de l' amertume, esclave de l' homme, tu restes. | |
Faire le bien voilà son culte | |
Etre soumis à Dieu est sa doctrine | |
Mourir est son é ché ancen enchainé à sa nature mortelle | |
Des ré cits apocryphes et des paroles divines | |
Subsiste le mal | |
De la promesse d' Eden à l' hymne aux dé funts | |
La folie reste aveugle à son obsession | |
Dans ce jardin de pierres où la peur sur son visage se lit | |
il exhume ses dé mons passé s dont l' me é tait resté e muette. | |
Son esprit malsain, fanatique, le conduit à sa propre dé ché ance | |
Et la folie pré pare son rè gne, tandis que des cadavres recouvrent le sol | |
le vent se fait suffocant et chaque souffle le blesse plus encore. | |
Cadavre humain condamné à l' ignorance dont la vie s'é achè ve | |
Dans un flot de lave br lant. | |
La mort n' est pas divertie par les larmes, | |
Et pour l' esprit divin qui anime ton me, | |
Tu meurs en sa cendre et tu vis en sa flamme | |
Si par la raison les tourments de ton me sont incurables | |
Té moins d'é pisodes sanglants, elle garde un espoir inf me | |
Immolé s cruellement sur l' autel de la guerre, | |
Les corps se dé composent dans les entrailles de la terre | |
Ainsi au lever du jour, son corps crucifié resplendira | |
A la lumiè re de la fin du monde. | |
Du sang à la cendre... |